En Tavo Hellmund, promoteur du Grand Prix des États-Unis, Bernie Ecclestone s'est trouvé un autre allié pour soutenir son idée de pluie artificielle lors des courses.
Le président de FOM est d'avis qu'arroser les circuits à intervalles irréguliers serait une façon intéressante de rendre les épreuves plus spectaculaires. La suggestion lui a été faite par le manufacturier de pneus Pirelli. Ecclestone a adopté le concept et tente de persuader la communauté F1 des bienfaits.
Il est peu surprenant de constater que la majorité des opinions est négative à l'endroit d'un tel stratagème. Le pilote Red Bull Mark Webber a même laissé entendre qu'imposer la pluie artificielle serait une insulte envers la Formule 1.
Mais au Texas, où la construction du circuit d'Austin bat son plein, Hellmund s'est dit prêt à intégrer un système d'arrosage en bordure de piste. Ce serait d'ailleurs chose facile puisque le chantier en est encore à ses débuts.
"Le véritable talent brille toujours sous la pluie", souligne Hellmund. "Les petites équipes devraient s'en réjouir car la pluie, c'est l'ultime niveleur. Elle élimine les différences dans les budgets et permet au talent pur de faire son œuvre."
Le journal local American Statesman indique toutefois qu'un recours à des effets artificiels ne serait peut-être pas nécessaire.
Bien que la date officielle du GP des États-Unis 2012 n'a pas encore été déterminée, il est possible que la course soit jumelée à la manche canadienne du championnat, à Montréal en juin. Et à cette période de l'année, les cieux au-dessus d'Austin sont souvent pluvieux
Le président de FOM est d'avis qu'arroser les circuits à intervalles irréguliers serait une façon intéressante de rendre les épreuves plus spectaculaires. La suggestion lui a été faite par le manufacturier de pneus Pirelli. Ecclestone a adopté le concept et tente de persuader la communauté F1 des bienfaits.
Il est peu surprenant de constater que la majorité des opinions est négative à l'endroit d'un tel stratagème. Le pilote Red Bull Mark Webber a même laissé entendre qu'imposer la pluie artificielle serait une insulte envers la Formule 1.
Mais au Texas, où la construction du circuit d'Austin bat son plein, Hellmund s'est dit prêt à intégrer un système d'arrosage en bordure de piste. Ce serait d'ailleurs chose facile puisque le chantier en est encore à ses débuts.
"Le véritable talent brille toujours sous la pluie", souligne Hellmund. "Les petites équipes devraient s'en réjouir car la pluie, c'est l'ultime niveleur. Elle élimine les différences dans les budgets et permet au talent pur de faire son œuvre."
Le journal local American Statesman indique toutefois qu'un recours à des effets artificiels ne serait peut-être pas nécessaire.
Bien que la date officielle du GP des États-Unis 2012 n'a pas encore été déterminée, il est possible que la course soit jumelée à la manche canadienne du championnat, à Montréal en juin. Et à cette période de l'année, les cieux au-dessus d'Austin sont souvent pluvieux