Au terme de la seconde journée des essais de pré-saison Barcelone II, Nico Rosberg était heureux de constater que la Mercedes W02 montrait des signes prometteurs.
Lors des trois périodes d'essais précédentes, l'équipe germanique a utilisé une version 'de base' de sa monoplace, l'objectif étant de fiabiliser l'ensemble avant de pousser le développement plus loin. L'exercice n'a pas permis de démontrer un rythme très exceptionnel, et le patron Ross Brawn lui-même, peu inquiet, reconnaissait que son équipe avait une seconde au tour à rattraper sur ses rivales.
Cette semaine, les ingénieurs de Mercedes ont choisi d'ajouter certains nouveaux éléments à la voiture avant de procéder à l'intégration complète du nouveau package, qui lui est attendu pour le premier Grand Prix de la saison, en Australie.
Une carrosserie modifiée et un nouveau système d'échappement sont déjà sur la W02. Rosberg a perçu du positif lors des 100 tours bouclés mercredi, même si sa journée de travail fut écourtée quand des morceaux de carrosserie se sont détachés.
De bons signes
"J'ai ressenti le potentiel des premiers nouveaux éléments", a rapporté l'Allemand, auteur du 8e meilleur temps du jour. "Merci aux gens de l'équipe car ces développements sont impressionnants, bien que nous n'ayons pas été en mesure de pousser à fond aujourd'hui car tous les éléments ne fonctionnent pas encore en harmonie."
"Nous avons vu quelques petits signes qui laissent croire que le package complet devrait être un grand pas en avant", ajoutait Rosberg. "Le problème avec la carrosserie a été coûteux en temps vers la fin, mais nous avons beaucoup appris."
Les défis multiples de 2011
Cette année, les pilotes doivent s'habituer à la dégradation rapide des nouvelles gommes Pirelli, à la gestion de l'aileron arrière ajustable et au fonctionnement du système de récupération de l'énergie cinétique (SREC). Rosberg a donné quelques détails sur la complexité de l'apprentissage.
"Les Pirelli sont très, très différents des Bridgestone. Il faut du temps pour non seulement trouver les bons réglages, mais aussi pour adapter son style de pilotage", a-t-il expliqué. "Et avec le SREC, les freinages sont très différents. Le SREC a une grande influence sur le freinage, sur l'équilibre des freins et tout le reste. Il faut tout comprendre et nous avons progressé à cet égard aujourd'hui."
Rosberg reprendra le volant de la Mercedes samedi. Entretemps, Michael Schumacher sera aux commandes de la Flèche d'argent.
Lors des trois périodes d'essais précédentes, l'équipe germanique a utilisé une version 'de base' de sa monoplace, l'objectif étant de fiabiliser l'ensemble avant de pousser le développement plus loin. L'exercice n'a pas permis de démontrer un rythme très exceptionnel, et le patron Ross Brawn lui-même, peu inquiet, reconnaissait que son équipe avait une seconde au tour à rattraper sur ses rivales.
Cette semaine, les ingénieurs de Mercedes ont choisi d'ajouter certains nouveaux éléments à la voiture avant de procéder à l'intégration complète du nouveau package, qui lui est attendu pour le premier Grand Prix de la saison, en Australie.
Une carrosserie modifiée et un nouveau système d'échappement sont déjà sur la W02. Rosberg a perçu du positif lors des 100 tours bouclés mercredi, même si sa journée de travail fut écourtée quand des morceaux de carrosserie se sont détachés.
De bons signes
"J'ai ressenti le potentiel des premiers nouveaux éléments", a rapporté l'Allemand, auteur du 8e meilleur temps du jour. "Merci aux gens de l'équipe car ces développements sont impressionnants, bien que nous n'ayons pas été en mesure de pousser à fond aujourd'hui car tous les éléments ne fonctionnent pas encore en harmonie."
"Nous avons vu quelques petits signes qui laissent croire que le package complet devrait être un grand pas en avant", ajoutait Rosberg. "Le problème avec la carrosserie a été coûteux en temps vers la fin, mais nous avons beaucoup appris."
Les défis multiples de 2011
Cette année, les pilotes doivent s'habituer à la dégradation rapide des nouvelles gommes Pirelli, à la gestion de l'aileron arrière ajustable et au fonctionnement du système de récupération de l'énergie cinétique (SREC). Rosberg a donné quelques détails sur la complexité de l'apprentissage.
"Les Pirelli sont très, très différents des Bridgestone. Il faut du temps pour non seulement trouver les bons réglages, mais aussi pour adapter son style de pilotage", a-t-il expliqué. "Et avec le SREC, les freinages sont très différents. Le SREC a une grande influence sur le freinage, sur l'équilibre des freins et tout le reste. Il faut tout comprendre et nous avons progressé à cet égard aujourd'hui."
Rosberg reprendra le volant de la Mercedes samedi. Entretemps, Michael Schumacher sera aux commandes de la Flèche d'argent.