Selon les chiffres fournis par Lewis Hamilton,
l'écurie McLaren aurait actuellement une seconde de retard au tour sur
ses rivales. Du moins, en configuration de qualification.
Autant le Britannique que son coéquipier et concitoyen Jenson Button
ont manifesté des inquiétudes sur la compétitivité de la MP4-26 au
cours de la dernière semaine. Lors des essais hivernaux, la monoplace de
Woking a connu des soucis de fiabilité. Ces problèmes ont eu un effet
sur le développement puisque McLaren se situe au 6e rang au niveau du kilométrage.
Cela signifie également que les pilotes ont eu moins de temps pour
explorer le comportement des nouvelles gommes Pirelli. Toutefois,
Hamilton ne sonne pas encore l'alerte rouge.
"Nous ne sommes pas à deux secondes des premiers", déclare-t-il à Auto Motor und Sport. "Bien que je n'aie pas été en-dessous des 1:22."
Le défi du top 10
Le temps de référence établi lors des essais de Barcelone II, sur le Circuit de Catalunya, appartient à Michael Schumacher
et sa Mercedes : 1:21.268. Est-ce que Hamilton aurait pu en faire
autant avec des gommes super tendres et un réservoir quasi-vide ? "Dans
les bas 1:22", estime-t-il.
Une telle performance lors d'une séance de qualification aurait comme
résultat de placer les McLaren vers le milieu du peloton. A l'instar de
Mercedes, les écuries Ferrari, Renault et Sauber ont également signé des
chronos dans les 1:21. Cela donne un potentiel de huit pilotes devant
le duo McLaren.
A Barcelone, Williams et Toro Rosso se trouvaient dans les 1:22 comme
McLaren. Il faudrait comprendre par cela que la participation de McLaren
à la période Q3 des qualifications, celle qui détermine le top 10 de la
grille de départ, pourrait être un objectif difficile à atteindre. A
moins que les ingénieurs de l'équipe puissent apporter des améliorations
à la MP4-26 avant le Grand Prix d'Australie.
"Croisons-nous les doigts", commente Hamilton.
l'écurie McLaren aurait actuellement une seconde de retard au tour sur
ses rivales. Du moins, en configuration de qualification.
Autant le Britannique que son coéquipier et concitoyen Jenson Button
ont manifesté des inquiétudes sur la compétitivité de la MP4-26 au
cours de la dernière semaine. Lors des essais hivernaux, la monoplace de
Woking a connu des soucis de fiabilité. Ces problèmes ont eu un effet
sur le développement puisque McLaren se situe au 6e rang au niveau du kilométrage.
Cela signifie également que les pilotes ont eu moins de temps pour
explorer le comportement des nouvelles gommes Pirelli. Toutefois,
Hamilton ne sonne pas encore l'alerte rouge.
"Nous ne sommes pas à deux secondes des premiers", déclare-t-il à Auto Motor und Sport. "Bien que je n'aie pas été en-dessous des 1:22."
Le défi du top 10
Le temps de référence établi lors des essais de Barcelone II, sur le Circuit de Catalunya, appartient à Michael Schumacher
et sa Mercedes : 1:21.268. Est-ce que Hamilton aurait pu en faire
autant avec des gommes super tendres et un réservoir quasi-vide ? "Dans
les bas 1:22", estime-t-il.
Une telle performance lors d'une séance de qualification aurait comme
résultat de placer les McLaren vers le milieu du peloton. A l'instar de
Mercedes, les écuries Ferrari, Renault et Sauber ont également signé des
chronos dans les 1:21. Cela donne un potentiel de huit pilotes devant
le duo McLaren.
A Barcelone, Williams et Toro Rosso se trouvaient dans les 1:22 comme
McLaren. Il faudrait comprendre par cela que la participation de McLaren
à la période Q3 des qualifications, celle qui détermine le top 10 de la
grille de départ, pourrait être un objectif difficile à atteindre. A
moins que les ingénieurs de l'équipe puissent apporter des améliorations
à la MP4-26 avant le Grand Prix d'Australie.
"Croisons-nous les doigts", commente Hamilton.