Le team principal de Red Bull Racing, Christian Horner, a révélé que son équipe n’a pas utilisé le KERS pour les qualifications et la course du Grand Prix d’Australie.
Christian Horner explique ce choix par des inquiétudes concernant la fiabilité du système. Cela fait également taire la rumeur qui indiquait que Red Bull Racing disposait d’un KERS plus léger et compact qui ne servait que pour les départs.
"Nous n’avions pas du tout le KERS ce week-end. Nous ne voulions pas le dire à qui que ce soit, mais regardez le départ… Il ne semble pas que nous en avions besoin. Nous étions un peu nerveux à l’idée de le dire à tout le monde avant la course," a-t-il déclaré.
"Nous avons couru avec vendredi et nous n’étions pas contents de sa fiabilité. Nous sentions qu’il y avait un risque potentiel, nous l’avons donc retiré des deux voitures et nous n’avons pas du tout couru avec ce week-end."
"Nous avons pris une décision avec le KERS. Il s’agit d’un système très complexe, c’est une technologie intéressante, mais [le directeur technique] Adrian [Newey] restant lui-même, il ne compromettrait pas la voiture pour ce système. Le KERS a donc dû être installé en tenant compte de la forme du package aérodynamique de la voiture et cela a représenté des difficultés plus grandes. Mais les gars ont fait un travail fantastique à Milton Keynes et en reconnaissance de leur travail acharné, nous avons été fiables et nous avons dominé la course."
Christian Horner explique ce choix par des inquiétudes concernant la fiabilité du système. Cela fait également taire la rumeur qui indiquait que Red Bull Racing disposait d’un KERS plus léger et compact qui ne servait que pour les départs.
"Nous n’avions pas du tout le KERS ce week-end. Nous ne voulions pas le dire à qui que ce soit, mais regardez le départ… Il ne semble pas que nous en avions besoin. Nous étions un peu nerveux à l’idée de le dire à tout le monde avant la course," a-t-il déclaré.
"Nous avons couru avec vendredi et nous n’étions pas contents de sa fiabilité. Nous sentions qu’il y avait un risque potentiel, nous l’avons donc retiré des deux voitures et nous n’avons pas du tout couru avec ce week-end."
"Nous avons pris une décision avec le KERS. Il s’agit d’un système très complexe, c’est une technologie intéressante, mais [le directeur technique] Adrian [Newey] restant lui-même, il ne compromettrait pas la voiture pour ce système. Le KERS a donc dû être installé en tenant compte de la forme du package aérodynamique de la voiture et cela a représenté des difficultés plus grandes. Mais les gars ont fait un travail fantastique à Milton Keynes et en reconnaissance de leur travail acharné, nous avons été fiables et nous avons dominé la course."