Bahreïn propriétaire à 30% de McLaren, Abu Dhabi, capitale des Émirats Arabes Unis, lieu du dernier Grand Prix de la saison 2009 et partenaire de Ferrari, le circuit de Losail, au Qatar, désireux d'en accueillir un prochainement, les pays du Golfe ont les yeux de Chimène pour la F1, actuellement confrontée de plein fouet à la crise économique et à la problématique de la réduction des coûts.
Dans ces conditions, l'argent du Golfe peut-il sauver la F1? La question mérite d'être posée alors que les spéculations sur une éventuelle reprise de Honda continuent d'aller bon train.
"La contribution est déjà très importante , a tranché le vice-président de la Fédération internationale automobile (FIA) Mohammed bin Sulayem. Qui aurait pu penser que nous aurions la saison prochaine deux Grand Prix de F1 si proches l'un de l'autre, avec deux circuits situés à 40 minutes l'un de l'autre?"
Plutôt que d'apporter une note d'espoir, le vice-président de la FIA a évoqué ses craintes. "Nous devons nous préparer au pire et c'est ce à quoi nous nous préparons , a-t-il indiqué. Nous ne savons pas ce que seront les ventes des constructeurs en décembre et janvier, comment ils vont réagir, tout cela va avoir un impact.»
Dans ces conditions, l'argent du Golfe peut-il sauver la F1? La question mérite d'être posée alors que les spéculations sur une éventuelle reprise de Honda continuent d'aller bon train.
"La contribution est déjà très importante , a tranché le vice-président de la Fédération internationale automobile (FIA) Mohammed bin Sulayem. Qui aurait pu penser que nous aurions la saison prochaine deux Grand Prix de F1 si proches l'un de l'autre, avec deux circuits situés à 40 minutes l'un de l'autre?"
Plutôt que d'apporter une note d'espoir, le vice-président de la FIA a évoqué ses craintes. "Nous devons nous préparer au pire et c'est ce à quoi nous nous préparons , a-t-il indiqué. Nous ne savons pas ce que seront les ventes des constructeurs en décembre et janvier, comment ils vont réagir, tout cela va avoir un impact.»