Les nombreuses modifications du règlement de Formule 1, effectuées pour redonner du piment aux courses en 2009, n'aboutiront pas forcément à un plus grand nombre de dépassements, ont estimé plusieurs pilotes jeudi à Melbourne, cadre du premier Grand Prix.
Outre une nouvelle aérodynamique marquée par un aileron étroit à l'arrière et large à l'avant, les F1, chaussées de pneus slicks, pourront utiliser le Kers, un système transformant l'énergie stockée lors des freinages en chevaux supplémentaires.
"Je me souviens, l'an passé, les gens devenaient fous. Ils disaient que sans antipatinage (supprimé en 2008), les voitures allaient partir en tête-à-queue. Qu'il y aurait bien plus de dépassements", s'est rappelé le jeune pilote Red Bull Sebastian Vettel.
"Au final, la saison dernière a été plus intéressante que les précédentes. Les voitures ont glissé un peu plus. Mais les dépassements sont restés difficiles", a remarqué l'Allemand, qui a remporté sa première victoire en septembre dernier, à Monza.
"Il faut comprendre qu'il est déjà difficile de dépasser une voiture en Formule 3 à cause des appuis. Alors en Formule 1, où les voitures en ont encore plus...", a-t-il poursuivi.
"Pour moi, la principale clé, c'est le Kers", a de son côté affirmé Robert Kubica, le pilote de BMW Sauber, également vainqueur de sa première course en 2008, à Montréal.
"Si une voiture devant toi ne l'utilise pas, tu peux avoir plus de puissance. Cela peut rendre le dépassement un peu plus facile, mais ça reste compliqué", a poursuivi le Polonais, qui courra sans Kers à Melbourne.
"Le Kers peut aider, mais je ne sais pas dans quelle mesure. S'il augmente le nombre de dépassements de 5 ou 10 %, ce sera déjà une grande amélioration", a commenté de son côté le vice-champion du monde Felipe Massa (Ferrari).
"Oui, mais si tu n'as pas le Kers et que tu es derrière une voiture qui l'a, tu ne pourras pas la dépasser. C'est une faiblesse", a rétorqué Jenson Button, dont la Brawn GP n'en sera pas pourvue.
Outre une nouvelle aérodynamique marquée par un aileron étroit à l'arrière et large à l'avant, les F1, chaussées de pneus slicks, pourront utiliser le Kers, un système transformant l'énergie stockée lors des freinages en chevaux supplémentaires.
"Je me souviens, l'an passé, les gens devenaient fous. Ils disaient que sans antipatinage (supprimé en 2008), les voitures allaient partir en tête-à-queue. Qu'il y aurait bien plus de dépassements", s'est rappelé le jeune pilote Red Bull Sebastian Vettel.
"Au final, la saison dernière a été plus intéressante que les précédentes. Les voitures ont glissé un peu plus. Mais les dépassements sont restés difficiles", a remarqué l'Allemand, qui a remporté sa première victoire en septembre dernier, à Monza.
"Il faut comprendre qu'il est déjà difficile de dépasser une voiture en Formule 3 à cause des appuis. Alors en Formule 1, où les voitures en ont encore plus...", a-t-il poursuivi.
"Pour moi, la principale clé, c'est le Kers", a de son côté affirmé Robert Kubica, le pilote de BMW Sauber, également vainqueur de sa première course en 2008, à Montréal.
"Si une voiture devant toi ne l'utilise pas, tu peux avoir plus de puissance. Cela peut rendre le dépassement un peu plus facile, mais ça reste compliqué", a poursuivi le Polonais, qui courra sans Kers à Melbourne.
"Le Kers peut aider, mais je ne sais pas dans quelle mesure. S'il augmente le nombre de dépassements de 5 ou 10 %, ce sera déjà une grande amélioration", a commenté de son côté le vice-champion du monde Felipe Massa (Ferrari).
"Oui, mais si tu n'as pas le Kers et que tu es derrière une voiture qui l'a, tu ne pourras pas la dépasser. C'est une faiblesse", a rétorqué Jenson Button, dont la Brawn GP n'en sera pas pourvue.