Quelques heures après son retour de Sepang, nous avons rencontré Kimi Raikkonen qui était présent à Maranello. Le champion du monde 2007 est catégorique sur son début de saison, c'est catastrophique. Cependant, le Finlandais est sur-motivé et annonce une réaction de son équipe dès la prochaine course en Chine.
''Eh bien, ce fut un très mauvais début de saison. C'était mauvais à Melbourne, mauvais à Sepang et nous sommes repartis de là-bas les mains vides. En Malaisie, j'aurais pu gagner quelques points sur piste sèche mais nous savions que la pluie était sur le point d'arriver et qu'elle aurait pu arriver à tout moment. Les chronos de vendredi semblaient assez bons mais il y a toujours l'inconnu de la charge de carburant des autres équipes à prendre en compte.
Nous savions aussi que la partie la plus difficile serait la qualification ou nous sommes de toute évidence plus en souffrance qu'en course. J'ai été très satisfait de mon tour en Q3 mais c'est tout ce que nous pouvons accomplir en ce moment. Nous manquons d'adhérence, d'appuis et nous devons pourtant donner toutes nos forces dans chaque tour. Il y a quelques nouvelles fonctionnalités a venir et je sais que l'équipe travaille d'arrache-pied pour anticiper l'ensemble du développement.
Concernant la course, c'était une loterie. Nous savions que la pluie arrivait tôt ou tard mais nous n'avons pas fait le bon choix en ce qui concerne le changement de pneus par rapport aux conditions météorologiques. Au cours du premier relais, nous avons décidé de mettre immédiatement les pneus pluie parce que nous attendions une forte averse de pluie dans les deux prochaines minutes mais ça ne s'est pas produit et les pneus se sont détruits très vite. C'était vraiment dommage et bien qu'il soit évident que nous n'avions pas la meilleure voiture, c'était suffisant pour avoir un bon résultat.
Il y a beaucoup de chose auxquelles nous devons nous habituer. Par exemple le KERS qui peut nous donner un réel avantage sur ce genre de circuit. A l'heure actuelle, nous avons toujours eu quelques problèmes de rodage et j'ai pu le voir moi-même en Malaisie. Vendredi, le poste de pilotage s'est rempli de fumée a la fin de la première séance d'essais et le dimanche, de l'eau qui s'est infiltrée dans le système ce qui a conduit a la destruction de l'isolation et j'ai dû m'arrêter.
Pour les départs, le KERS fonctionne très bien comme nous avons pu le voir dimanche dernier. La prochaine course se déroulera en Chine mais quelques jours avant, la cours d'appel de la FIA se prononcera sur les diffuseurs. Cette décision aura un énorme impact sur le championnat. Nous avons besoin de plus d'appuis et nous travaillons très dur pour corriger cela.
Si vous analysez les temps en Malaisie dans les trois partiel, vous verrez que nous n'avons pas les meilleurs temps notamment dans la seconde partie du circuit. Elle demande beaucoup d'appuis et sans cela, c'est impossible à gérer. Certes nous n'avons aucun point après deux courses et c'est un moment très difficile. Nous avons eu d'autres moments comme celui la mais nous savons comment réagir et nous le ferons dès Shanghai.
''Eh bien, ce fut un très mauvais début de saison. C'était mauvais à Melbourne, mauvais à Sepang et nous sommes repartis de là-bas les mains vides. En Malaisie, j'aurais pu gagner quelques points sur piste sèche mais nous savions que la pluie était sur le point d'arriver et qu'elle aurait pu arriver à tout moment. Les chronos de vendredi semblaient assez bons mais il y a toujours l'inconnu de la charge de carburant des autres équipes à prendre en compte.
Nous savions aussi que la partie la plus difficile serait la qualification ou nous sommes de toute évidence plus en souffrance qu'en course. J'ai été très satisfait de mon tour en Q3 mais c'est tout ce que nous pouvons accomplir en ce moment. Nous manquons d'adhérence, d'appuis et nous devons pourtant donner toutes nos forces dans chaque tour. Il y a quelques nouvelles fonctionnalités a venir et je sais que l'équipe travaille d'arrache-pied pour anticiper l'ensemble du développement.
Concernant la course, c'était une loterie. Nous savions que la pluie arrivait tôt ou tard mais nous n'avons pas fait le bon choix en ce qui concerne le changement de pneus par rapport aux conditions météorologiques. Au cours du premier relais, nous avons décidé de mettre immédiatement les pneus pluie parce que nous attendions une forte averse de pluie dans les deux prochaines minutes mais ça ne s'est pas produit et les pneus se sont détruits très vite. C'était vraiment dommage et bien qu'il soit évident que nous n'avions pas la meilleure voiture, c'était suffisant pour avoir un bon résultat.
Il y a beaucoup de chose auxquelles nous devons nous habituer. Par exemple le KERS qui peut nous donner un réel avantage sur ce genre de circuit. A l'heure actuelle, nous avons toujours eu quelques problèmes de rodage et j'ai pu le voir moi-même en Malaisie. Vendredi, le poste de pilotage s'est rempli de fumée a la fin de la première séance d'essais et le dimanche, de l'eau qui s'est infiltrée dans le système ce qui a conduit a la destruction de l'isolation et j'ai dû m'arrêter.
Pour les départs, le KERS fonctionne très bien comme nous avons pu le voir dimanche dernier. La prochaine course se déroulera en Chine mais quelques jours avant, la cours d'appel de la FIA se prononcera sur les diffuseurs. Cette décision aura un énorme impact sur le championnat. Nous avons besoin de plus d'appuis et nous travaillons très dur pour corriger cela.
Si vous analysez les temps en Malaisie dans les trois partiel, vous verrez que nous n'avons pas les meilleurs temps notamment dans la seconde partie du circuit. Elle demande beaucoup d'appuis et sans cela, c'est impossible à gérer. Certes nous n'avons aucun point après deux courses et c'est un moment très difficile. Nous avons eu d'autres moments comme celui la mais nous savons comment réagir et nous le ferons dès Shanghai.