Alors que le conflit entre la FIA et les équipes membres de la FOTA semble avoir atteint un sommet cette semaine, Bernie Ecclestone tente d'éteindre l'incendie.
"Je voudrais demander un peu de calme à tout le monde. Au lieu de s'envoyer de la boue au visage publiquement, il faut que chacun laisser s'installer tout cela tranquillement," déclare le grand argentier de la F1.
Il faut dire que Bernie Ecclestone est probablement celui qui a le plus à perdre en cas d'implosion du Championnat du monde de F1. L'heure est donc grave, pour lui, d'autant plus que la rébellion s'étend désormais à des constructeurs qui ne sont pas présents en F1.
Vendredi, L'association des constructeurs automobiles européens (Acea) a en effet menacé de retirer tous les constructeurs du championnat de F1 au cas où la FIA persisterait dans son envie de changer son règlement.
Parmi les membres de l'Acea, on retrouve aussi des constructeurs comme Ford, Opel, Porsche, Peugeot, Volvo et Volkswagen en plus de ceux qui sont déjà présents en F1.
Le journal britannique The Times interprète cette initiative de l'Acea comme "une preuve de plus que les constructeurs d'automobiles en ont assez de Max Mosley et veulent le remplacer ou le restreindre" dans ses initiatives.
"Je voudrais demander un peu de calme à tout le monde. Au lieu de s'envoyer de la boue au visage publiquement, il faut que chacun laisser s'installer tout cela tranquillement," déclare le grand argentier de la F1.
Il faut dire que Bernie Ecclestone est probablement celui qui a le plus à perdre en cas d'implosion du Championnat du monde de F1. L'heure est donc grave, pour lui, d'autant plus que la rébellion s'étend désormais à des constructeurs qui ne sont pas présents en F1.
Vendredi, L'association des constructeurs automobiles européens (Acea) a en effet menacé de retirer tous les constructeurs du championnat de F1 au cas où la FIA persisterait dans son envie de changer son règlement.
Parmi les membres de l'Acea, on retrouve aussi des constructeurs comme Ford, Opel, Porsche, Peugeot, Volvo et Volkswagen en plus de ceux qui sont déjà présents en F1.
Le journal britannique The Times interprète cette initiative de l'Acea comme "une preuve de plus que les constructeurs d'automobiles en ont assez de Max Mosley et veulent le remplacer ou le restreindre" dans ses initiatives.