Kamui Kobayashi est bien placé pour être au volant d’une Toyota la saison prochaine, après avoir réalisé deux très belles performances au Brésil et à Abu Dhabi où il a marqué les points de la sixième place.
Pourtant, quelques semaines avant de remplacer Timo Glock, le Japonais pensait que son avenir en sport automobile était fortement compromis et envisageait de travailler dans le restaurant de son père au Japon.
Suite à l’accident de Timo Glock à Suzuka, le jeune japonais s’est retrouvé dans le baquet de la TF109. En deux courses, il a montré qu’il ne craignait pas de se battre avec les ténors de la discipline. On retiendra, notamment, ses passes d’armes avec Jenson Button.
Maintenant que sa pointe de vitesse est connue, il est presque certain qu’il sera au volant d’une Toyota la saison prochaine.
Quand on lui demande s’il aurait encore participé au championnat GP2 s’il n’avait pas eu la possibilité de rouler en Formule 1, Kamui Kobayashi a répondu : "Non, non, je n’ai pas de budget. Je ne peux pas conduire en GP2."
"Je serais probablement retourné au Japon pour travailler dans le restaurant de mon père. Sérieusement il y a deux mois, c’était comme ça. A 16 ans, je travaillais là-bas, je faisais des sushis."
Kamui Kobayashi a admis qu’il savait qu’il devait faire de bonnes performances lors de ces deux épreuves au volant de la Toyota, après une campagne GP2 bien décevante.
"C’est pourquoi, depuis deux semaines, j’étais toujours en Allemagne, à l’usine. Je suis revenu à mon domicile pour une seule journée. Puis, j’ai été en Allemagne pour les réunions d’informations. A ce moment, je ne savais pas si j’allais être capable de conduire mais au cas où, je savais que j’avais une chance de montrer ce que je pouvais faire."
Bien que John Howett, président de l’équipe, ait admis que Kamui Kobayashi était une possibilité pour 2010, le principal intéressé déclare qu’il n’a pas encore discuté de l’avenir.
"Le futur pour moi, je ne peux pas décider. Bien entendu, j’ai plus de chance, mais je ne peux pas décider pour l’année prochaine, donc je suis en attente pour un hiver long et nous verrons."
"Je n’ai rien signé. Bien sûr, je n’ai toujours que Toyota comme possibilité parce que je suis un jeune pilote Toyota. Mais je ne veux pas y croire trop. Si je dois conduire, je conduirai et ferai ce que j’ai à faire. Je vais me préparer pour l’an prochain, mais je ne peux encore rien dire, parce que ce n’est pas ma décision."
Pourtant, quelques semaines avant de remplacer Timo Glock, le Japonais pensait que son avenir en sport automobile était fortement compromis et envisageait de travailler dans le restaurant de son père au Japon.
Suite à l’accident de Timo Glock à Suzuka, le jeune japonais s’est retrouvé dans le baquet de la TF109. En deux courses, il a montré qu’il ne craignait pas de se battre avec les ténors de la discipline. On retiendra, notamment, ses passes d’armes avec Jenson Button.
Maintenant que sa pointe de vitesse est connue, il est presque certain qu’il sera au volant d’une Toyota la saison prochaine.
Quand on lui demande s’il aurait encore participé au championnat GP2 s’il n’avait pas eu la possibilité de rouler en Formule 1, Kamui Kobayashi a répondu : "Non, non, je n’ai pas de budget. Je ne peux pas conduire en GP2."
"Je serais probablement retourné au Japon pour travailler dans le restaurant de mon père. Sérieusement il y a deux mois, c’était comme ça. A 16 ans, je travaillais là-bas, je faisais des sushis."
Kamui Kobayashi a admis qu’il savait qu’il devait faire de bonnes performances lors de ces deux épreuves au volant de la Toyota, après une campagne GP2 bien décevante.
"C’est pourquoi, depuis deux semaines, j’étais toujours en Allemagne, à l’usine. Je suis revenu à mon domicile pour une seule journée. Puis, j’ai été en Allemagne pour les réunions d’informations. A ce moment, je ne savais pas si j’allais être capable de conduire mais au cas où, je savais que j’avais une chance de montrer ce que je pouvais faire."
Bien que John Howett, président de l’équipe, ait admis que Kamui Kobayashi était une possibilité pour 2010, le principal intéressé déclare qu’il n’a pas encore discuté de l’avenir.
"Le futur pour moi, je ne peux pas décider. Bien entendu, j’ai plus de chance, mais je ne peux pas décider pour l’année prochaine, donc je suis en attente pour un hiver long et nous verrons."
"Je n’ai rien signé. Bien sûr, je n’ai toujours que Toyota comme possibilité parce que je suis un jeune pilote Toyota. Mais je ne veux pas y croire trop. Si je dois conduire, je conduirai et ferai ce que j’ai à faire. Je vais me préparer pour l’an prochain, mais je ne peux encore rien dire, parce que ce n’est pas ma décision."