Banni à vie de la Formule 1 suite à son implication dans l'affaire Crashgate, Flavio Briatore connaîtra mardi la décision du Tribunal de grande instance de Paris concernant la procédure qu'il a logée pour tenter de renverser sa radiation.
Après avoir été expulsé de l'écurie Renault par Briatore, Nelson Piquet Jr rencontra la FIA au cours du mois d'août dernier pour dévoiler l'existence d'un complot lors du Grand Prix de Singapour 2008, complot ayant nécessité un accident volontaire de sa part qui força l'apparition de la voiture de sécurité, le tout à la faveur de son coéquipier de l'époque, Fernando Alonso. Piquet perdît volontairement le contrôle de sa Renault et Alonso remporta la victoire, la stratégie de course préparée pour l'espagnol ayant apparemment été prévue en conséquence de l'accident planifié de Piquet.
Près d'une année après cette tricherie, congédié et désabusé, Piquet racontait son histoire et le scandale Crashgate éclatait.
En septembre, ayant complété son enquête, la FIA annonçait ses décisions : Alonso fut lavé de tout soupçon, aucune mesure émise contre Piquet vu l'octroi d'une immunité en échange de son témoignage, et l'écurie Renault devra demeurer sous surveillance pendant deux années.
Le patron de l'écurie Renault, Flavio Briatore, et son directeur technique Pat Symonds, quittèrent leurs fonctions et furent bannis de la F1 par la FIA: le premier à vie, le deuxième pour une période de cinq ans. De plus, leur présence dans le paddock ne sera acceptée sous aucune condition, ni leur association avec tout sport lié à la FIA.
En se présentant devant le Tribunal de grande instance, Briatore et Symonds tentent de démontrer que la FIA ne possède pas l'autorité légale requise pour déclarer de tels jugements. Briatore a d'ailleurs accusé l'ancien président de la FIA, Max Mosley, d'avoir exercé une vengeance contre lui. Les représentations des avocats ayant déjà eu lieu en Novembre, l'opinion de la cour sur cette affaire sera connue mardi.
Cependant, l'opinion de certaines personnes est déjà bien ancrée. Stefano Domenicali, patron de l'écurie Ferrari, ne cache pas son point de vue sur la question.
Lors d'une interview avec le journal La Stampa, Domenicali déclarait au sujet de son compatriote italien Briatore: "Les gens n'aiment pas la soupe réchauffée; il devra se trouver d'autres opportunités."
Après avoir été expulsé de l'écurie Renault par Briatore, Nelson Piquet Jr rencontra la FIA au cours du mois d'août dernier pour dévoiler l'existence d'un complot lors du Grand Prix de Singapour 2008, complot ayant nécessité un accident volontaire de sa part qui força l'apparition de la voiture de sécurité, le tout à la faveur de son coéquipier de l'époque, Fernando Alonso. Piquet perdît volontairement le contrôle de sa Renault et Alonso remporta la victoire, la stratégie de course préparée pour l'espagnol ayant apparemment été prévue en conséquence de l'accident planifié de Piquet.
Près d'une année après cette tricherie, congédié et désabusé, Piquet racontait son histoire et le scandale Crashgate éclatait.
En septembre, ayant complété son enquête, la FIA annonçait ses décisions : Alonso fut lavé de tout soupçon, aucune mesure émise contre Piquet vu l'octroi d'une immunité en échange de son témoignage, et l'écurie Renault devra demeurer sous surveillance pendant deux années.
Le patron de l'écurie Renault, Flavio Briatore, et son directeur technique Pat Symonds, quittèrent leurs fonctions et furent bannis de la F1 par la FIA: le premier à vie, le deuxième pour une période de cinq ans. De plus, leur présence dans le paddock ne sera acceptée sous aucune condition, ni leur association avec tout sport lié à la FIA.
En se présentant devant le Tribunal de grande instance, Briatore et Symonds tentent de démontrer que la FIA ne possède pas l'autorité légale requise pour déclarer de tels jugements. Briatore a d'ailleurs accusé l'ancien président de la FIA, Max Mosley, d'avoir exercé une vengeance contre lui. Les représentations des avocats ayant déjà eu lieu en Novembre, l'opinion de la cour sur cette affaire sera connue mardi.
Cependant, l'opinion de certaines personnes est déjà bien ancrée. Stefano Domenicali, patron de l'écurie Ferrari, ne cache pas son point de vue sur la question.
Lors d'une interview avec le journal La Stampa, Domenicali déclarait au sujet de son compatriote italien Briatore: "Les gens n'aiment pas la soupe réchauffée; il devra se trouver d'autres opportunités."