L'ingénieur de course de Force India Dominic Harlow confirme que beaucoup de ressources sont dédiées à la recherche du réservoir idéal cet hiver.
Avec la fin des ravitaillements en carburant, une première depuis 1993 en Formule 1, toutes les équipes sont en train de modifier la taille de leur réservoir. Celui-ci devra être deux fois plus gros, donc environ deux fois plus lourd, ce qui risque d'influencer beaucoup la répartition des masses sur les monoplaces.
Quelle taille prévoir ? Où placer cette "citerne" dans le châssis ? C'est LA question qui intéresse toutes les équipes. "On est partis de zéro", déclaré Harlow sur le site de Force India. "On a recensé tout ce qui pouvait affecter la consommation : aéro, circuits, style de pilotage, composition du carburant. On en a tiré des estimations de volume de réservoir qui sont basées sur le circuit où la voiture est censée consommer le plus, qui est actuellement Valence."
"Il faut ensuite intégrer la composante design de la voiture. Il faut voir que le volume théorique du réservoir n'est pas son volume réel, quand la voiture est construite", continue Harlow. Enfin, il faut prendre en compte le fait que le comportement de la voiture va évoluer de manière drastique à mesure qu'elle va s'alléger.
"C'est un domaine assez inexploré. Nous devons faire encore beaucoup de modélisation pour maîtriser cela. Mais je pense que sur certains circuits il va falloir être très prudent au départ de la course. Mais comme toujours, ceux qui apprendront vite vont se retrouver devant", ajoute l'ingénieur.
Force India s'estime en mesure de créer quelques surprises, comme l'année dernière à Spa, par exemple. "On n'a jamais connu un hiver aussi constructif", affirme Harlow. "Rien n'a bougé chez nous, pour une fois. Tout est en place. Et on espère bien en profiter."
Avec la fin des ravitaillements en carburant, une première depuis 1993 en Formule 1, toutes les équipes sont en train de modifier la taille de leur réservoir. Celui-ci devra être deux fois plus gros, donc environ deux fois plus lourd, ce qui risque d'influencer beaucoup la répartition des masses sur les monoplaces.
Quelle taille prévoir ? Où placer cette "citerne" dans le châssis ? C'est LA question qui intéresse toutes les équipes. "On est partis de zéro", déclaré Harlow sur le site de Force India. "On a recensé tout ce qui pouvait affecter la consommation : aéro, circuits, style de pilotage, composition du carburant. On en a tiré des estimations de volume de réservoir qui sont basées sur le circuit où la voiture est censée consommer le plus, qui est actuellement Valence."
"Il faut ensuite intégrer la composante design de la voiture. Il faut voir que le volume théorique du réservoir n'est pas son volume réel, quand la voiture est construite", continue Harlow. Enfin, il faut prendre en compte le fait que le comportement de la voiture va évoluer de manière drastique à mesure qu'elle va s'alléger.
"C'est un domaine assez inexploré. Nous devons faire encore beaucoup de modélisation pour maîtriser cela. Mais je pense que sur certains circuits il va falloir être très prudent au départ de la course. Mais comme toujours, ceux qui apprendront vite vont se retrouver devant", ajoute l'ingénieur.
Force India s'estime en mesure de créer quelques surprises, comme l'année dernière à Spa, par exemple. "On n'a jamais connu un hiver aussi constructif", affirme Harlow. "Rien n'a bougé chez nous, pour une fois. Tout est en place. Et on espère bien en profiter."