Le président de Virgin Richard Branson, malgré plus de 3" au tour de retard en essais de pré-saison, a encore de grands projets pour son écurie. Et pour la F1 dans son entier.
Partie prenante du conte de fées vécu il y a un an par Brawn, l'homme d'affaires britannique de 59 ans, a rapidement compris que l'aventure serait quelque peu différente cette année avec l'ex-Manor Motorsport. "On est habitués à rencontrer des difficultés. On aime aussi être ceux qui gagnent à la fin et on ne s'attendait pas à avoir autant de réussite dès le début l'année dernière", a déclaré Branson à Skysports.
"Nous avons une chance d'être respectables et de commencer à construire quelque chose en vue des années à venir. On espère que course après course on refera notre retard et que l'on pourra intégrer la première moitié du plateau au cours de la saison prochaine."
On a connu l'ancien détenteur du record du tour du monde en ballon moins humble mais il n'abandonne pas l'idée de graver son nom dans les tables de l'Histoire de la F1. "Ce que j'ai découvert l'année dernière c'est qu'il y a un milliard de personnes qui regardent la F1 et que, pour la plupart, ce sont des vrais mordus", dit-il. "Virgin est peut-être l'une des 20 plus grandes marques au monde alors être en F1 est très sexy mais nous allons essayer de la rendre encore un peu plus sexy. C'est aussi de l'amusement, de l'excitation et tout cela, ce sont aussi des attributs de la marque Virgin."
"Ce que j'ai découvert l'année dernière c'est qu'il y a un milliard de personnes qui regardent la F1 et que, pour la plupart, ce sont des vrais mordus"
Richard Branson
Sur la raison pour laquelle Branson n'a pas mis son budget dans un top team, l'intéressé répond encore avec son sourire : "On a trouvé beaucoup plus intéressant et excitant de nous adosser à une équipe qui arrivait que faire un gros chèque à une équipe qui était déjà bien établi". Probablement moins cher aussi. Mais le fond de grille conviendra-t-il longtemps au magnat anglais ?
Partie prenante du conte de fées vécu il y a un an par Brawn, l'homme d'affaires britannique de 59 ans, a rapidement compris que l'aventure serait quelque peu différente cette année avec l'ex-Manor Motorsport. "On est habitués à rencontrer des difficultés. On aime aussi être ceux qui gagnent à la fin et on ne s'attendait pas à avoir autant de réussite dès le début l'année dernière", a déclaré Branson à Skysports.
"Nous avons une chance d'être respectables et de commencer à construire quelque chose en vue des années à venir. On espère que course après course on refera notre retard et que l'on pourra intégrer la première moitié du plateau au cours de la saison prochaine."
On a connu l'ancien détenteur du record du tour du monde en ballon moins humble mais il n'abandonne pas l'idée de graver son nom dans les tables de l'Histoire de la F1. "Ce que j'ai découvert l'année dernière c'est qu'il y a un milliard de personnes qui regardent la F1 et que, pour la plupart, ce sont des vrais mordus", dit-il. "Virgin est peut-être l'une des 20 plus grandes marques au monde alors être en F1 est très sexy mais nous allons essayer de la rendre encore un peu plus sexy. C'est aussi de l'amusement, de l'excitation et tout cela, ce sont aussi des attributs de la marque Virgin."
"Ce que j'ai découvert l'année dernière c'est qu'il y a un milliard de personnes qui regardent la F1 et que, pour la plupart, ce sont des vrais mordus"
Richard Branson
Sur la raison pour laquelle Branson n'a pas mis son budget dans un top team, l'intéressé répond encore avec son sourire : "On a trouvé beaucoup plus intéressant et excitant de nous adosser à une équipe qui arrivait que faire un gros chèque à une équipe qui était déjà bien établi". Probablement moins cher aussi. Mais le fond de grille conviendra-t-il longtemps au magnat anglais ?