Au sortir de deux courses en demi-teinte à Bahreïn et en Australie, Michael Schumacher l'annonce avant Sepang, le meilleur est à venir.
Trois mois après l'un des plus grands come-back de l'histoire du sport, Schumacher a essuyé ses premières critiques après le Grand Prix d'Australie, qu'il a terminé à la 10e place. Pour la deuxième fois en deux courses, le septuple champion du monde, qui était donné par beaucoup comme favori du Championnat, a été dominé par son jeune coéquipier Nico Rosberg, dans tous les compartiments du week-end.
Schumacher a terminé à une minute de Jenson Button, vainqueur. Il s'est fait doubler par le rookie Lucas Di Grassi, sur une Virgin et il a passé 22 tours derrière Jaime Alguersuari, le benjamin du plateau, dont Fernando Alonso n'a fait qu'une bouchée.
Pour autant, l'Allemand reste positif sur le chemin de la Malaisie. "On n'est pas loin des meilleurs. J'ai confiance. Le meilleur est à venir", dit-il. Bien sûr, on ne le voit pas très bien comme cela mais nous avons progressé en Australie. On a des raisons d'espérer, hormis en regardant le résultat sec bien entendu."
Il faut bien entendu dire que Schumacher n'a pas eu de chance à Melbourne. Il s'est rapidement retrouvé à la dernière place après l'accrochage du départ, dans lequel il était la victime. "Je pense que Nico et moi aurions pu nous classer deux ou trois places au-dessus en qualifications", affirme-t-il. "J'avais des réglages trop défensifs, qui étaient pensés pour la course et il y avait aussi un tear off qui était coincé dans mon aileron avant, ce qui m'a fait perdre du temps. Si on avait pu partir de plus haut, on aurait pu lutter pour le podium."
"Mais on sait que l'on sera plus rapide en Malaisie qu'à Bahreïn. Ce qui nous met déjà dans de bonnes dispositions. Il y a eu de la bagarre en Australie. Je serai encore très heureux de livrer bataille en Malaisie."
Trois mois après l'un des plus grands come-back de l'histoire du sport, Schumacher a essuyé ses premières critiques après le Grand Prix d'Australie, qu'il a terminé à la 10e place. Pour la deuxième fois en deux courses, le septuple champion du monde, qui était donné par beaucoup comme favori du Championnat, a été dominé par son jeune coéquipier Nico Rosberg, dans tous les compartiments du week-end.
Schumacher a terminé à une minute de Jenson Button, vainqueur. Il s'est fait doubler par le rookie Lucas Di Grassi, sur une Virgin et il a passé 22 tours derrière Jaime Alguersuari, le benjamin du plateau, dont Fernando Alonso n'a fait qu'une bouchée.
Pour autant, l'Allemand reste positif sur le chemin de la Malaisie. "On n'est pas loin des meilleurs. J'ai confiance. Le meilleur est à venir", dit-il. Bien sûr, on ne le voit pas très bien comme cela mais nous avons progressé en Australie. On a des raisons d'espérer, hormis en regardant le résultat sec bien entendu."
Il faut bien entendu dire que Schumacher n'a pas eu de chance à Melbourne. Il s'est rapidement retrouvé à la dernière place après l'accrochage du départ, dans lequel il était la victime. "Je pense que Nico et moi aurions pu nous classer deux ou trois places au-dessus en qualifications", affirme-t-il. "J'avais des réglages trop défensifs, qui étaient pensés pour la course et il y avait aussi un tear off qui était coincé dans mon aileron avant, ce qui m'a fait perdre du temps. Si on avait pu partir de plus haut, on aurait pu lutter pour le podium."
"Mais on sait que l'on sera plus rapide en Malaisie qu'à Bahreïn. Ce qui nous met déjà dans de bonnes dispositions. Il y a eu de la bagarre en Australie. Je serai encore très heureux de livrer bataille en Malaisie."