Fernando Alonso « fait confiance » à Ferrari
F1 L’équipe a les moyens de progresser
Fernando Alonso mise sur le potentiel de développement de Ferrari, qu’il juge sans égal sur la grille. L’Espagnol reste un candidat au titre et il pense que la F10 sera plus à son aise sur le circuit de Montréal.
Ferrari ne dispose pas d’une aussi bonne monoplace que Red Bull et McLaren et en Turquie, la F10 était derrière la Mercedes et à peine au niveau de la Renault. Malgré tout, Fernando Alonso reste très bien placé au championnat. Il est persuadé que son équipe peut combler l’écart avec les premiers.
« A Istanbul, nous n’étions pas assez rapides et nous devons réagir immédiatement » explique Alonso sur le site de Ferrari. « Le championnat reste très ouvert. Je suis quatrième, à quatorze points du leader. Avec l’ancien barème, je ne serais qu’à quatre points. »
« Mais il est évident que nous devons faire un bond en avant dans le développement de la voiture. Au cours des quatre premières courses, nous étions dans le rythme de nos rivaux, mais ce n’est plus le cas depuis le retour en Europe. »
« Quand j’étais un rival de Ferrari, j’admirais sa capacité à réagir, à produire probablement le meilleur développement durant une saison. Les gens sont les mêmes donc il n’y a pas de raison pour que cela ne se produise pas cette année : je fais confiance à l’équipe, et surtout, j’ai confiance en la volonté de gagner que nous partageons ici. »
A Istanbul, Fernando Alonso n’a obtenu qu’une modeste huitième place. « Le Grand Prix de Turquie a probablement été le pire de l’année pour nous » reconnaît le double champion du monde. « Notre niveau de performance n’était tout simplement pas assez bon par rapport à McLaren et Red Bull, et en qualifications nous avons même souffert face à des équipes qui étaient derrière nous jusqu’à présent. »
« Je n’ai pas pu entrer en Q3 et cela a compromis ma course : quand on part douzième, on ne peut pas faire grand chose. Dimanche, j’ai fais ce que je pouvais : limiter les dégats. Je pense que nous y sommes parvenus. »
Stefano Domenicali, le patron de la Scuderia, espère que son équipe va apporter des solutions novatrices dans les prochaines couses. De grosses nouveautés sont prévues pour le GP d’Europe mais Alonso s’attend à des progrès dès le Canada.
« A Valencia, nous aurons une grosse mise à jour qui devrait nous faire faire un gros pas en avant, mais je pense qu’au Canada, la situation sera déjà différente » prédit l’Espagnol. « Le circuit de Montréal conviendra mieux aux caractéristiques de la F10 et je pense que nous serons vraiment plus rapides. »
F1 L’équipe a les moyens de progresser
Fernando Alonso mise sur le potentiel de développement de Ferrari, qu’il juge sans égal sur la grille. L’Espagnol reste un candidat au titre et il pense que la F10 sera plus à son aise sur le circuit de Montréal.
Ferrari ne dispose pas d’une aussi bonne monoplace que Red Bull et McLaren et en Turquie, la F10 était derrière la Mercedes et à peine au niveau de la Renault. Malgré tout, Fernando Alonso reste très bien placé au championnat. Il est persuadé que son équipe peut combler l’écart avec les premiers.
« A Istanbul, nous n’étions pas assez rapides et nous devons réagir immédiatement » explique Alonso sur le site de Ferrari. « Le championnat reste très ouvert. Je suis quatrième, à quatorze points du leader. Avec l’ancien barème, je ne serais qu’à quatre points. »
« Mais il est évident que nous devons faire un bond en avant dans le développement de la voiture. Au cours des quatre premières courses, nous étions dans le rythme de nos rivaux, mais ce n’est plus le cas depuis le retour en Europe. »
« Quand j’étais un rival de Ferrari, j’admirais sa capacité à réagir, à produire probablement le meilleur développement durant une saison. Les gens sont les mêmes donc il n’y a pas de raison pour que cela ne se produise pas cette année : je fais confiance à l’équipe, et surtout, j’ai confiance en la volonté de gagner que nous partageons ici. »
A Istanbul, Fernando Alonso n’a obtenu qu’une modeste huitième place. « Le Grand Prix de Turquie a probablement été le pire de l’année pour nous » reconnaît le double champion du monde. « Notre niveau de performance n’était tout simplement pas assez bon par rapport à McLaren et Red Bull, et en qualifications nous avons même souffert face à des équipes qui étaient derrière nous jusqu’à présent. »
« Je n’ai pas pu entrer en Q3 et cela a compromis ma course : quand on part douzième, on ne peut pas faire grand chose. Dimanche, j’ai fais ce que je pouvais : limiter les dégats. Je pense que nous y sommes parvenus. »
Stefano Domenicali, le patron de la Scuderia, espère que son équipe va apporter des solutions novatrices dans les prochaines couses. De grosses nouveautés sont prévues pour le GP d’Europe mais Alonso s’attend à des progrès dès le Canada.
« A Valencia, nous aurons une grosse mise à jour qui devrait nous faire faire un gros pas en avant, mais je pense qu’au Canada, la situation sera déjà différente » prédit l’Espagnol. « Le circuit de Montréal conviendra mieux aux caractéristiques de la F10 et je pense que nous serons vraiment plus rapides. »
