Le retour du Grand Prix de France de F1 semble de plus en plus compromis. Malgré sa nationalité française, Jean Todt ne peut rien faire à la tête de la FIA.
Le dernier GP de France a eu lieu en 2008 et alors les Etats-Unis et l'Inde vont avoir de nouvelles courses, le retour de la France n'est plus évoqué. Les projets à Marne La Valée et à Flins ont été abandonnés et celui de Sarcelles ne fait plus parler de lui.
La fédération internationale est dirigée par un Français, Jean Todt. Mais cela ne change rien à la situation: « Le raccourci est trop facile » explique-t-il dans Le Parisien.
« Ma fonction est internationale. Je suis français et fier de l’être, mais il appartient à la Fédération française du sport automobile et aux autorités politiques du pays de faire une proposition. Ce n’est pas à moi d’assurer le futur du Grand Prix de France. »
La FIA soutiendrait un projet français
Actuellement, aucun projet sérieux ne semble en cours et Bernie Ecclestone, gestionnaire des droits commerciaux de la F1, ne souhaite pas revenir à Magny-Cours. Malgré tout, la FIA serait favorable au retour de la France au calendrier.
« La FIA ne peut qu’apporter son soutien à un projet français, mais elle ne peut légalement pas en être à l’origine » a ajouté Jean Todt.
Le dernier GP de France a eu lieu en 2008 et alors les Etats-Unis et l'Inde vont avoir de nouvelles courses, le retour de la France n'est plus évoqué. Les projets à Marne La Valée et à Flins ont été abandonnés et celui de Sarcelles ne fait plus parler de lui.
La fédération internationale est dirigée par un Français, Jean Todt. Mais cela ne change rien à la situation: « Le raccourci est trop facile » explique-t-il dans Le Parisien.
« Ma fonction est internationale. Je suis français et fier de l’être, mais il appartient à la Fédération française du sport automobile et aux autorités politiques du pays de faire une proposition. Ce n’est pas à moi d’assurer le futur du Grand Prix de France. »
La FIA soutiendrait un projet français
Actuellement, aucun projet sérieux ne semble en cours et Bernie Ecclestone, gestionnaire des droits commerciaux de la F1, ne souhaite pas revenir à Magny-Cours. Malgré tout, la FIA serait favorable au retour de la France au calendrier.
« La FIA ne peut qu’apporter son soutien à un projet français, mais elle ne peut légalement pas en être à l’origine » a ajouté Jean Todt.