Richard Branson était à Montréal ce week-end et on pouvait suivre le propriétaire de Virgin à la trace avec quelques déclarations bien senties.
Samedi, le businessman britannique réclamait une course de F1 dans le centre-ville de Las Vegas, en plus de celle qui est censée se préparer à Austin. Passe. Mais dimanche, Branson a dépassé les bornes en affirmant que Virgin Racing avait passé un accord révolutionnaire avec la société Carbon Green afin que "les vieux pneus utilisés par Timo Glock et Lucas di Grassi soient recyclés pour devenir des produits utiles".
Cette affirmation était rapidement démentie sur twitter par Andy Stobart, l'attaché de presse de Bridgestone : "Nous récupérons tous les pneus usagés à la fin des courses. Ils sont couverts par le secret de fabrication. Mais ils sont réutilisés dans l'élaboration de carburant, ce qui contribue à émettre moins de carbone". La morale est sauve.
Samedi, le businessman britannique réclamait une course de F1 dans le centre-ville de Las Vegas, en plus de celle qui est censée se préparer à Austin. Passe. Mais dimanche, Branson a dépassé les bornes en affirmant que Virgin Racing avait passé un accord révolutionnaire avec la société Carbon Green afin que "les vieux pneus utilisés par Timo Glock et Lucas di Grassi soient recyclés pour devenir des produits utiles".
Cette affirmation était rapidement démentie sur twitter par Andy Stobart, l'attaché de presse de Bridgestone : "Nous récupérons tous les pneus usagés à la fin des courses. Ils sont couverts par le secret de fabrication. Mais ils sont réutilisés dans l'élaboration de carburant, ce qui contribue à émettre moins de carbone". La morale est sauve.