Les pilotes sont déçus par les pneus 2010 de Bridgestone.
Dans tous les garages, la question reste entière et énigmatique "comment faire fonctionner ces pneus", ce qui pour certaines équipes et/ou pilotes est encore plus un problème que pour d'autres.
À titre d'exemple, le pilote Ferrari, Felipe Massa, a besoin d'un temps chaud, d'un pneu tendre et d'une piste abrasive pour être aussi rapide que son équipier Fernando Alonso.
Le Brésilien indique dans la publication Auto Motor und Sport : "Cela change toute la course lorsque l'on est si dépendant des pneus." Et c'est encore plus frustrant lorsqu'un concurrent comme Lewis Hamilton arrive à faire fonctionner ses Bridgestone "dès le premier tour" avec sa McLaren.
Nico Rosberg indiquait au Canada que son problème était de faire fonctionner sa voiture avec les pneus, et même l'expérimenté Michael Schumacher ne trouve pas la réponse. "Ces pneus sont comme un puzzle très compliqué à assembler," indique Nico Rosberg. Et Michael Schumacher ajoute : "Ça change souvent du jour au lendemain pour un ou deux facteurs."
La conception de la carcasse du pneu serait la cause du problème, beaucoup plus raide que par le passé afin de prévenir le genre de problème vécu par Michelin à Indianapolis en 2005.
Plusieurs pilotes ont des problèmes pour monter le pneu en température. Le patron de Mercedes GP, Ross Brawn, explique : "On peut voir clairement que la conduite agressive de Hamilton lui permet de faire fonctionner ses pneus plus facilement que Button."
Dans tous les garages, la question reste entière et énigmatique "comment faire fonctionner ces pneus", ce qui pour certaines équipes et/ou pilotes est encore plus un problème que pour d'autres.
À titre d'exemple, le pilote Ferrari, Felipe Massa, a besoin d'un temps chaud, d'un pneu tendre et d'une piste abrasive pour être aussi rapide que son équipier Fernando Alonso.
Le Brésilien indique dans la publication Auto Motor und Sport : "Cela change toute la course lorsque l'on est si dépendant des pneus." Et c'est encore plus frustrant lorsqu'un concurrent comme Lewis Hamilton arrive à faire fonctionner ses Bridgestone "dès le premier tour" avec sa McLaren.
Nico Rosberg indiquait au Canada que son problème était de faire fonctionner sa voiture avec les pneus, et même l'expérimenté Michael Schumacher ne trouve pas la réponse. "Ces pneus sont comme un puzzle très compliqué à assembler," indique Nico Rosberg. Et Michael Schumacher ajoute : "Ça change souvent du jour au lendemain pour un ou deux facteurs."
La conception de la carcasse du pneu serait la cause du problème, beaucoup plus raide que par le passé afin de prévenir le genre de problème vécu par Michelin à Indianapolis en 2005.
Plusieurs pilotes ont des problèmes pour monter le pneu en température. Le patron de Mercedes GP, Ross Brawn, explique : "On peut voir clairement que la conduite agressive de Hamilton lui permet de faire fonctionner ses pneus plus facilement que Button."