D'après Christian Horner, patron de l'écurie Red Bull, Sebastian Vettel doit canaliser ses émotions dans la voiture : il n'en sera que plus fort.
Lors du Grand Prix de Hongrie, Vettel a écopé d'une pénalité de passage par les stands pour avoir enfreint un des règlements de la voiture de sécurité. Plus précisément, il n'a pas respecté la distance permise entre sa voiture et le leader du peloton (son coéquipier Mark Webber) lors de la neutralisation de la course. À la relance, il était beaucoup trop loin.
Par radio et sur un ton énervé, Vettel voulait qu'on lui explique pourquoi il recevait une pénalité. Lorsqu'il est passé par les stands, l'Allemand a fait savoir son mécontentement par des signes répétés de la main. Après la course, dans le parc fermé, il a tapé le panneau de la troisième place avec le museau de sa voiture. Sur le podium, son visage en disait long sur son humeur alors qu'il soulevait son trophée sans le moindre sourire, sachant qu'une victoire lui avait très probablement échappé.
Plus tard, après un debriefing, il reconnaissait son erreur : "Je dormais à la relance, j'attendais qu'on me dise quand la voiture de sécurité allait quitter la piste, mais je n'avais plus la radio. De ma voiture, je ne voyais pas les gyrophares. Mark était près de la voiture de sécurité, alors je croyais qu'il y aurait un autre tour. Mais elle est rentrée aux stands et j'ai été pris au dépourvu."
Mais son patron croit que les problèmes de communication n'y sont pour rien ou presque. Il y va plutôt pour l'erreur humaine : "C'est prématuré de mettre le blâme sur la radio. Il était de toute évidence frustré, mais ça fait partie de la courbe d'apprentissage."
"Il a de quoi se consoler", continue Horner. "Il a marqué beaucoup de points et un de ses adversaires principaux, Lewis (Hamilton), n'en a marqué aucun. Et Jenson (Button) seulement quelques-uns. Grâce à cette récolte, nous avons enlevé un grand nombre de points à McLaren dans le championnat des constructeurs. C'est un excellent résultat pour l'équipe."
"Ses émotions sont sa force ; il doit les canaliser dans sa voiture", souligne le patron de l'écurie Red Bull. "Il reste encore sept courses."
Lors du Grand Prix de Hongrie, Vettel a écopé d'une pénalité de passage par les stands pour avoir enfreint un des règlements de la voiture de sécurité. Plus précisément, il n'a pas respecté la distance permise entre sa voiture et le leader du peloton (son coéquipier Mark Webber) lors de la neutralisation de la course. À la relance, il était beaucoup trop loin.
Par radio et sur un ton énervé, Vettel voulait qu'on lui explique pourquoi il recevait une pénalité. Lorsqu'il est passé par les stands, l'Allemand a fait savoir son mécontentement par des signes répétés de la main. Après la course, dans le parc fermé, il a tapé le panneau de la troisième place avec le museau de sa voiture. Sur le podium, son visage en disait long sur son humeur alors qu'il soulevait son trophée sans le moindre sourire, sachant qu'une victoire lui avait très probablement échappé.
Plus tard, après un debriefing, il reconnaissait son erreur : "Je dormais à la relance, j'attendais qu'on me dise quand la voiture de sécurité allait quitter la piste, mais je n'avais plus la radio. De ma voiture, je ne voyais pas les gyrophares. Mark était près de la voiture de sécurité, alors je croyais qu'il y aurait un autre tour. Mais elle est rentrée aux stands et j'ai été pris au dépourvu."
Mais son patron croit que les problèmes de communication n'y sont pour rien ou presque. Il y va plutôt pour l'erreur humaine : "C'est prématuré de mettre le blâme sur la radio. Il était de toute évidence frustré, mais ça fait partie de la courbe d'apprentissage."
"Il a de quoi se consoler", continue Horner. "Il a marqué beaucoup de points et un de ses adversaires principaux, Lewis (Hamilton), n'en a marqué aucun. Et Jenson (Button) seulement quelques-uns. Grâce à cette récolte, nous avons enlevé un grand nombre de points à McLaren dans le championnat des constructeurs. C'est un excellent résultat pour l'équipe."
"Ses émotions sont sa force ; il doit les canaliser dans sa voiture", souligne le patron de l'écurie Red Bull. "Il reste encore sept courses."