Le vice-président de Mercedes-Benz Motorsport, Norbert Haug, estime que Ferrari a été la plus maligne pour copier le diffuseur soufflé de Red Bull Racing.
La stratégie de l’équipe italienne de copier le diffuseur en plusieurs étapes s’est en effet avérée la plus efficace en piste, à l’inverse de celle de McLaren Mercedes et Mercedes GP qui n’a pas eu autant de succès.
Toutes deux ont décidé d’introduire en une seule étape leur diffuseur soufflé, rencontrant plusieurs problèmes – le principal étant que leur diffuseur fondait avec la chaleur dégagée par les échappements. Pour remédier à ce problème, Mercedes GP a d’ailleurs passé commande auprès d’une entreprise française pour obtenir un matériau très résistant, qui est notamment utilisé dans l’aérospatial.
Cependant, en ligne avec sa stratégie, Ferrari n’a de son côté toujours pas introduit la version complète de son diffuseur soufflé. Celle-ci ne devrait être visible qu’après la trêve estivale à Spa-Francorchamps, une décision intelligente selon Norbert Haug.
"Peut-être que ce n’était pas une mauvaise décision de Ferrari de ne pas se précipiter," a-t-il avoué à la publication allemande Auto Motor und Sport.
La stratégie de l’équipe italienne de copier le diffuseur en plusieurs étapes s’est en effet avérée la plus efficace en piste, à l’inverse de celle de McLaren Mercedes et Mercedes GP qui n’a pas eu autant de succès.
Toutes deux ont décidé d’introduire en une seule étape leur diffuseur soufflé, rencontrant plusieurs problèmes – le principal étant que leur diffuseur fondait avec la chaleur dégagée par les échappements. Pour remédier à ce problème, Mercedes GP a d’ailleurs passé commande auprès d’une entreprise française pour obtenir un matériau très résistant, qui est notamment utilisé dans l’aérospatial.
Cependant, en ligne avec sa stratégie, Ferrari n’a de son côté toujours pas introduit la version complète de son diffuseur soufflé. Celle-ci ne devrait être visible qu’après la trêve estivale à Spa-Francorchamps, une décision intelligente selon Norbert Haug.
"Peut-être que ce n’était pas une mauvaise décision de Ferrari de ne pas se précipiter," a-t-il avoué à la publication allemande Auto Motor und Sport.