Jenson Button, le champion en titre, s'attend à devoir combattre sans relâche jusqu'à la dernière course de la saison pour décrocher la couronne 2010. Et la même règle s'applique à ses adversaires.
Grâce à sa deuxième place en Italie le week-end dernier, le Britannique a réduit son déficit sur le leader du championnat à 22 points. L'écart entre Mark Webber et les autres membres du top 5 est de 24 points, alors qu'il reste cinq courses à disputer d'ici la fin de la saison.
"En regardant le classement, vous ne pouvez vous empêcher de penser 'Wow, comment ça peut être aussi serré ?'", s'étonne Button. "Après Spa, tout le monde s'attendait à une course au titre entre Lewis (Hamilton) et Mark (Webber), mais je crois que ce championnat sera décidé lors de la dernière course. Personne ne va remporter le titre facilement, le combat se poursuivra jusqu'à la toute fin."
L'an dernier, Button a remporté le titre en adoptant une stratégie plus conservatrice lors des dernières épreuves. À l'époque, il devait protéger son avance en engrangeant un maximum de points avec un minimum de risques. En 2009, à cinq courses de la fin, il avait 16 points d'avance sur ses rivaux.
Mais aujourd'hui, avec le nouveau barème, son retard actuel de 22 points équivaut à plus ou moins 8 points selon l'ancien système. Tout reste à gagner d'ici le GP d'Abou Dhabi, ce qui fait plaisir à Button.
"Il faut prendre chaque course comme elle vient", dit le pilote McLaren. "Piloter simplement pour marquer des points ne fait pas partie du profil psychologique d'un pilote. Je l'ai ressenti l'an dernier quand je n'avais qu'à récolter des points de manière constante pour remporter le titre. C'était probablement plus dur mentalement que d'attaquer directement."
Néanmoins, la constance demeure non seulement importante, mais essentielle au cours de ces dernières manches.
"Vous devez avoir une voiture capable de vous amener jusqu'à la fin de chaque Grand Prix", explique Button. "Vous ne voulez pas avoir à prendre des décisions impulsives ou radicales au niveau des réglages ou de la stratégie en espérant en tirer un avantage."
"La pression pèse sur chacun de nous, car aucun d'entre nous ne peut se permettre un autre abandon ou une erreur. Celui qui craquera le moins sera champion du monde."
Grâce à sa deuxième place en Italie le week-end dernier, le Britannique a réduit son déficit sur le leader du championnat à 22 points. L'écart entre Mark Webber et les autres membres du top 5 est de 24 points, alors qu'il reste cinq courses à disputer d'ici la fin de la saison.
"En regardant le classement, vous ne pouvez vous empêcher de penser 'Wow, comment ça peut être aussi serré ?'", s'étonne Button. "Après Spa, tout le monde s'attendait à une course au titre entre Lewis (Hamilton) et Mark (Webber), mais je crois que ce championnat sera décidé lors de la dernière course. Personne ne va remporter le titre facilement, le combat se poursuivra jusqu'à la toute fin."
L'an dernier, Button a remporté le titre en adoptant une stratégie plus conservatrice lors des dernières épreuves. À l'époque, il devait protéger son avance en engrangeant un maximum de points avec un minimum de risques. En 2009, à cinq courses de la fin, il avait 16 points d'avance sur ses rivaux.
Mais aujourd'hui, avec le nouveau barème, son retard actuel de 22 points équivaut à plus ou moins 8 points selon l'ancien système. Tout reste à gagner d'ici le GP d'Abou Dhabi, ce qui fait plaisir à Button.
"Il faut prendre chaque course comme elle vient", dit le pilote McLaren. "Piloter simplement pour marquer des points ne fait pas partie du profil psychologique d'un pilote. Je l'ai ressenti l'an dernier quand je n'avais qu'à récolter des points de manière constante pour remporter le titre. C'était probablement plus dur mentalement que d'attaquer directement."
Néanmoins, la constance demeure non seulement importante, mais essentielle au cours de ces dernières manches.
"Vous devez avoir une voiture capable de vous amener jusqu'à la fin de chaque Grand Prix", explique Button. "Vous ne voulez pas avoir à prendre des décisions impulsives ou radicales au niveau des réglages ou de la stratégie en espérant en tirer un avantage."
"La pression pèse sur chacun de nous, car aucun d'entre nous ne peut se permettre un autre abandon ou une erreur. Celui qui craquera le moins sera champion du monde."