De retour ce week-end au sein de l'écurie Sauber, Nick Heidfeld pourrait y réfléchir à deux fois s'il se trouvait que les Suisses lui proposaient de poursuivre en 2011.
Écarté - y compris par Sauber - l'hiver dernier, ce qui l'a contraint à ne pas débuter une saison en tant que titulaire pour la première fois depuis dix ans, le pilote de Mönchengladbach, 33 ans, a opéré un remarquable revirement de situation qui le met maintenant en position de force. Il a d'abord accepté d'être un pilote essayeur Mercedes sans toucher une seule fois le volant au sein du team puis, cet été, il a été choisi par Pirelli pour développer les pneus de la saison prochaine.
Cette connaissance des gommes qui restent un mystère pour la plupart des équipes actuelles a été déterminante pour le retour du pilote allemand. Dès ce week-end, il retrouve un baquet au sein de Sauber, l'écurie qu'il a quittée il y a moins d'un an, en remplacement du vétéran Pedro De la Rosa.
On pourrait le croire déjà heureux d'avoir une chance de piloter à nouveau à plein temps et de se placer en vue de la saison prochaine. Apparemment, Heidfeld en veut plus.
"Je ne souhaite pas parler de la situation du pilote pour la saison prochaine", a déclaré Peter Sauber, qui a déjà confirmé que Kamui Kobayashi serait conservé. Pour le moment, nous nous concentrons sur ce que nous avons à faire avec Nick", a-t-il confié au Stuttgarter Zeitung.
Sauber ne regrette pas, en tout cas, d'avoir congédié De le Rosa. "Nous avions deux pilotes qui avaient le même niveau", se justifie-t-il. "Sept qualifications pour l'un et sept pour l'autre. Et c'était notre problème. Il nous était difficile d'évaluer la voiture." Ce sera la mission de Heidfeld, qui a déjà eu deux contrats chez Sauber.
L'Allemand s'est dit bien entendu "ravi de rentrer comme à la maison" mais il n'est pas dit qu'il ait envie d'y rester. Son travail pour Pirelli, qu'il a reconnu avoir fait gratuitement, fait de lui un pilote désiré.
"Il y a d'autres équipes intéressées (à moi)", a-t-il lâché à l'agence SID, se réservant donc le droit d'utiliser cette pige de fin d'année chez Sauber comme un marche-pied vers d'autres écuries. On pense bien entendu à Renault, seule écurie du top 5 à qui il reste un baquet de libre.
Écarté - y compris par Sauber - l'hiver dernier, ce qui l'a contraint à ne pas débuter une saison en tant que titulaire pour la première fois depuis dix ans, le pilote de Mönchengladbach, 33 ans, a opéré un remarquable revirement de situation qui le met maintenant en position de force. Il a d'abord accepté d'être un pilote essayeur Mercedes sans toucher une seule fois le volant au sein du team puis, cet été, il a été choisi par Pirelli pour développer les pneus de la saison prochaine.
Cette connaissance des gommes qui restent un mystère pour la plupart des équipes actuelles a été déterminante pour le retour du pilote allemand. Dès ce week-end, il retrouve un baquet au sein de Sauber, l'écurie qu'il a quittée il y a moins d'un an, en remplacement du vétéran Pedro De la Rosa.
On pourrait le croire déjà heureux d'avoir une chance de piloter à nouveau à plein temps et de se placer en vue de la saison prochaine. Apparemment, Heidfeld en veut plus.
"Je ne souhaite pas parler de la situation du pilote pour la saison prochaine", a déclaré Peter Sauber, qui a déjà confirmé que Kamui Kobayashi serait conservé. Pour le moment, nous nous concentrons sur ce que nous avons à faire avec Nick", a-t-il confié au Stuttgarter Zeitung.
Sauber ne regrette pas, en tout cas, d'avoir congédié De le Rosa. "Nous avions deux pilotes qui avaient le même niveau", se justifie-t-il. "Sept qualifications pour l'un et sept pour l'autre. Et c'était notre problème. Il nous était difficile d'évaluer la voiture." Ce sera la mission de Heidfeld, qui a déjà eu deux contrats chez Sauber.
L'Allemand s'est dit bien entendu "ravi de rentrer comme à la maison" mais il n'est pas dit qu'il ait envie d'y rester. Son travail pour Pirelli, qu'il a reconnu avoir fait gratuitement, fait de lui un pilote désiré.
"Il y a d'autres équipes intéressées (à moi)", a-t-il lâché à l'agence SID, se réservant donc le droit d'utiliser cette pige de fin d'année chez Sauber comme un marche-pied vers d'autres écuries. On pense bien entendu à Renault, seule écurie du top 5 à qui il reste un baquet de libre.