Les équipes de sont rencontrées longuement le week-end dernier, en marge du Grand Prix de Singapour. Elles se sont mises d'accord pour assouplir le règlement sur la réduction des coûts tout en le rendant plus efficace.
La réunion a été organisée à l'initiative de la FOTA qui craignait que l'accord existant, qui court jusqu'à la fin de l'année prochaine, ne se transforme en coquille vide, du fait de la volonté de certaines équipes de pouvoir dépenser un peu plus.
Selon les directeurs d'écurie qui ont été interrogés sur le sujet, un pré-accord portant sur la période 2012-2017 a pu être finalisé.
"Ce devait être une discussion informelle mais à l'arrivée, il y a eu quelque chose de signé", a déclaré le patron de Renault Éric Boullier, à Autosport.
Pour le président de la FOTA Martin Whitmarsh, "les progrès accomplis ont été fantastiques !"
"Il y avait des équipes dont on craignait qu'elles soient amenées à contourner l'accord actuel (ce qui aurait pu donner le départ à une course à l'armement délétère). Mais avec ce que nous avons trouvé nous avons même pu éclaircir des zones d'ombres dans le règlement et ce grâce au travail de toutes les équipes pour trouver ce compromis."
Le fond de l'accord devrait permettre aux grosses écuries de dépenser plus. Elles ont fait valoir l'argument selon lequel l'accord actuel a été pris en pleine crise économique et que la conjoncture est en passe de s'améliorer.
La réunion a été organisée à l'initiative de la FOTA qui craignait que l'accord existant, qui court jusqu'à la fin de l'année prochaine, ne se transforme en coquille vide, du fait de la volonté de certaines équipes de pouvoir dépenser un peu plus.
Selon les directeurs d'écurie qui ont été interrogés sur le sujet, un pré-accord portant sur la période 2012-2017 a pu être finalisé.
"Ce devait être une discussion informelle mais à l'arrivée, il y a eu quelque chose de signé", a déclaré le patron de Renault Éric Boullier, à Autosport.
Pour le président de la FOTA Martin Whitmarsh, "les progrès accomplis ont été fantastiques !"
"Il y avait des équipes dont on craignait qu'elles soient amenées à contourner l'accord actuel (ce qui aurait pu donner le départ à une course à l'armement délétère). Mais avec ce que nous avons trouvé nous avons même pu éclaircir des zones d'ombres dans le règlement et ce grâce au travail de toutes les équipes pour trouver ce compromis."
Le fond de l'accord devrait permettre aux grosses écuries de dépenser plus. Elles ont fait valoir l'argument selon lequel l'accord actuel a été pris en pleine crise économique et que la conjoncture est en passe de s'améliorer.