Alors qu'il atteindra les 80 ans le 28 octobre, Bernie Ecclestone a affirmé dimanche qu'il n'avait aucune intention de lever le pied.
En voilà un que l'agitation en France à propos de la réforme des retraites doit laisser relativement indifférent. Bernie Ecclestone, le président de Formula One Management, va bientôt fêter ses 80 ans et le Britannique semble plus actif que jamais. Il n'a pas vraiment envie de faire valoir ses droits à se retirer.
"Si je cesse de travailler, je ne peux plus résoudre de problème et pour moi, ce serait un peu le début de la mort", a déclaré dimanche Ecclestone au jounal Bild am Sonntag. "Donc je travaille et j'aime travailler." Même si celui qui possède l'une des plus grosses fortunes de Grande-Bretagne, n'a pas vraiment besoin d'assurer sa subsistance.
Jeudi, il était en Russie pour signer un contrat pour un Grand Prix à Sotchi à partir de 2014. "Je veux travailler et bien travailler parce que j'aime cela. Et quand on aime cela, l'argent vient avec, comme une conséquence", dit-il.
Ecclestone, milliardaire malgré lui ? Après une courte carrière de pilote, il a pourtant très vite été attiré par le commerce, revendant d'abord des pièces détachées auto et moto, puis prenant la tête de l'association des équipes de F1 avant de verrouiller les droits médias d'une discipline qu'il fera patiemment grandir.
Aujourd'hui, Ecclestone, qui vit avec Fabiana Flosi, une Brésilienne de 34 ans spécialiste de marketing sportif, peut donner des leçons de réussite professionnelle : "Pour obtenir quelque chose dans la vie, il faut donner de soi. J'ai beaucoup donné de moi-même. C'est peut-être pour cela qu'au final j'ai beaucoup reçu".
En voilà un que l'agitation en France à propos de la réforme des retraites doit laisser relativement indifférent. Bernie Ecclestone, le président de Formula One Management, va bientôt fêter ses 80 ans et le Britannique semble plus actif que jamais. Il n'a pas vraiment envie de faire valoir ses droits à se retirer.
"Si je cesse de travailler, je ne peux plus résoudre de problème et pour moi, ce serait un peu le début de la mort", a déclaré dimanche Ecclestone au jounal Bild am Sonntag. "Donc je travaille et j'aime travailler." Même si celui qui possède l'une des plus grosses fortunes de Grande-Bretagne, n'a pas vraiment besoin d'assurer sa subsistance.
Jeudi, il était en Russie pour signer un contrat pour un Grand Prix à Sotchi à partir de 2014. "Je veux travailler et bien travailler parce que j'aime cela. Et quand on aime cela, l'argent vient avec, comme une conséquence", dit-il.
Ecclestone, milliardaire malgré lui ? Après une courte carrière de pilote, il a pourtant très vite été attiré par le commerce, revendant d'abord des pièces détachées auto et moto, puis prenant la tête de l'association des équipes de F1 avant de verrouiller les droits médias d'une discipline qu'il fera patiemment grandir.
Aujourd'hui, Ecclestone, qui vit avec Fabiana Flosi, une Brésilienne de 34 ans spécialiste de marketing sportif, peut donner des leçons de réussite professionnelle : "Pour obtenir quelque chose dans la vie, il faut donner de soi. J'ai beaucoup donné de moi-même. C'est peut-être pour cela qu'au final j'ai beaucoup reçu".