La Formule 1 s'apprête à entamer le "plus difficile" défi logistique de son histoire, selon Jonathan Wheatley, le manager de l'écurie Red Bull.
Après la conclusion du Grand Prix du Brésil ce dimanche, le grand cirque devra se rendre à Abou Dhabi, où la dernière épreuve de la saison aura lieu le dimanche suivant. Les courses séparées par une semaine ont habituellement lieu sur le même continent ou presque, mais dans ce cas-ci, il faudra quitter l'Amérique du Sud et voyager jusqu'au Moyen-Orient.
Les équipes n'auront que quelques jours pour rassembler leur équipement à Interlagos le dimanche soir et tout déployer de nouveau à Yas Marina le jeudi matin. Le trajet comprend un vol de 16 heures, sans compter l'ajustement à un fuseau horaire décalé de plusieurs heures.
Comme défi logistique, c'est "probablement le plus difficile que nous ayons entrepris", dit Wheatley.
"Il y a d'abord le facteur humain", explique-t-il. "81 membres de notre personnel quitteront le Brésil, dont le fuseau horaire précède celui de notre base en Angleterre de deux heures, pour se rendre à Abou Dhabi, qui a six heures d'avance sur le Brésil."
"Il y a aussi le petit détail que représentent les 13 000 kilos de fret aérien et les 10 000 kilos de fret maritime", continue Wheatley. "Tout cet équipement doit être à Abou Dhabi 24 heures plus tôt que la fenêtre que nous nous accordons habituellement quand deux courses se suivent."
"Ça ne prend qu'un petit problème avec un aspect que vous ne contrôlez pas, à la douane ou avec des manutentionnaires par exemple, pour tout gâcher."
Il y a fort à parier qu'après le GP du Brésil, que le championnat soit gagné ou pas, certaines personnes passeront une nuit blanche.
Après la conclusion du Grand Prix du Brésil ce dimanche, le grand cirque devra se rendre à Abou Dhabi, où la dernière épreuve de la saison aura lieu le dimanche suivant. Les courses séparées par une semaine ont habituellement lieu sur le même continent ou presque, mais dans ce cas-ci, il faudra quitter l'Amérique du Sud et voyager jusqu'au Moyen-Orient.
Les équipes n'auront que quelques jours pour rassembler leur équipement à Interlagos le dimanche soir et tout déployer de nouveau à Yas Marina le jeudi matin. Le trajet comprend un vol de 16 heures, sans compter l'ajustement à un fuseau horaire décalé de plusieurs heures.
Comme défi logistique, c'est "probablement le plus difficile que nous ayons entrepris", dit Wheatley.
"Il y a d'abord le facteur humain", explique-t-il. "81 membres de notre personnel quitteront le Brésil, dont le fuseau horaire précède celui de notre base en Angleterre de deux heures, pour se rendre à Abou Dhabi, qui a six heures d'avance sur le Brésil."
"Il y a aussi le petit détail que représentent les 13 000 kilos de fret aérien et les 10 000 kilos de fret maritime", continue Wheatley. "Tout cet équipement doit être à Abou Dhabi 24 heures plus tôt que la fenêtre que nous nous accordons habituellement quand deux courses se suivent."
"Ça ne prend qu'un petit problème avec un aspect que vous ne contrôlez pas, à la douane ou avec des manutentionnaires par exemple, pour tout gâcher."
Il y a fort à parier qu'après le GP du Brésil, que le championnat soit gagné ou pas, certaines personnes passeront une nuit blanche.