Le directeur technique de Ferrari Aldo Costa est revenu sur les "évaluations impulsives et erronées" de la Scuderia, qui ont conduit cette dernière à perdre le titre sur la dernière course, à Abou Dhabi, le 14 novembre.
"Nous nous sommes trompés. Nous ne sommes pas allés en piste pour faire de notre mieux mais pour obtenir un résultat intermédiaire, suffisant. Et quand c'est comme ça, un rien suffit, un Petrov, une Voiture de Sécurité, et tout s'effondre. Plus jamais ça", a déclaré l'ingénieur italien dans La Reppublica.
"Puis Fernando passe la ligne d'arrivée. Nous restons tous immobiles. Pendant 5 à 10 minutes, nous fixons le moniteur. Personne ne bouge. Personne n'enlève son casque. Personne ne parle. Personne ne veut affronter la réalité."
Costa, qui avoue encore faire "souvent un cauchemar" à propos de cette dernière course 2010, soulève également le comportement de Jaime Alguersuari (Toro Rosso) durant la course. Il estime que des consignes d'équipe ont été données à l'Espagnol pour qu'il laisse facilement passer Mark Webber, qui était l'homme que Ferrari marquait.
"Nous avons fait des évaluations impulsives et erronées", a-t-il toutefois reconnu, à l'unisson de son équipe au soir de course et après. "La responsabilité ne peut peser sur les épaules d'un seul. Puis nous créerons un 'garage à distance', un groupe maison relié par radio. Loin de la course, il y a moins de pression et plus de lucidité", a-t-il dit.
"Mais il faut être clair, nous n'avons pas perdu le titre mondial à cause de la stratégie d'Abou Dhabi, mais parce que notre voiture était plus lente", a-t-il aussi reconnu.
"Nous nous sommes trompés. Nous ne sommes pas allés en piste pour faire de notre mieux mais pour obtenir un résultat intermédiaire, suffisant. Et quand c'est comme ça, un rien suffit, un Petrov, une Voiture de Sécurité, et tout s'effondre. Plus jamais ça", a déclaré l'ingénieur italien dans La Reppublica.
"Puis Fernando passe la ligne d'arrivée. Nous restons tous immobiles. Pendant 5 à 10 minutes, nous fixons le moniteur. Personne ne bouge. Personne n'enlève son casque. Personne ne parle. Personne ne veut affronter la réalité."
Costa, qui avoue encore faire "souvent un cauchemar" à propos de cette dernière course 2010, soulève également le comportement de Jaime Alguersuari (Toro Rosso) durant la course. Il estime que des consignes d'équipe ont été données à l'Espagnol pour qu'il laisse facilement passer Mark Webber, qui était l'homme que Ferrari marquait.
"Nous avons fait des évaluations impulsives et erronées", a-t-il toutefois reconnu, à l'unisson de son équipe au soir de course et après. "La responsabilité ne peut peser sur les épaules d'un seul. Puis nous créerons un 'garage à distance', un groupe maison relié par radio. Loin de la course, il y a moins de pression et plus de lucidité", a-t-il dit.
"Mais il faut être clair, nous n'avons pas perdu le titre mondial à cause de la stratégie d'Abou Dhabi, mais parce que notre voiture était plus lente", a-t-il aussi reconnu.