Le championnat 2011 sera le plus long dans l'Histoire de la Formule 1. Les équipes en ressentiront les effets, prédit Martin Whitmarsh, mais la saison s'annonce excitante.
En effet, le plateau a tous les ingrédients d'une saison aussi compétitive - sinon plus - que la saison 2010 : un potentiel de cinq écuries capables de remporter des courses et peut-être une demi-douzaine de candidats au titre, sans oublier des stratégies influencées par Pirelli.
Mais avec l'ajout du Grand Prix d'Inde, la saison comptera 20 manches cette année ; ce serait le maximum possible d'un point de vue logistique. De plus, le championnat s'étalera du 13 mars au 27 novembre, soit une période de huit mois et demi. C'est beaucoup.
"Je crois que ce sera très dur", opine Whitmarsh, le patron de McLaren, à Crash.net. "Il s'agira de la plus longue saison de trois façons. 20 courses, c'est plus que jamais. Nous n'avons jamais connu un calendrier aussi large. Et finalement, toutes ces courses à l'extérieur de l'Europe signifient de nombreux déplacements, ce qui sera très, très dur sur les mécanos, les ingénieurs, les techniciens et toute l'équipe."
Malgré la fatigue qui s'annonce, la passion de la course demeure la même. Et avoir autant de Grands Prix sur le calendrier, c'est une bonne chose pour la Formule 1 et les fans : "Il faut comprendre que nous sommes dans l'industrie du spectacle. Notre discipline est fantastique et nous devons séduire de nouveaux marchés. Par exemple, se rendre en Inde sera un défi tout en étant excitant."
Le championnat 2010 comptait 19 courses, alors tout le personnel des équipes sait à quoi s'attendre cette année. "Je crois que tout le monde était soulagé lorsque la saison s'est terminée", reconnaît Whitmarsh. "Mais ce fut une très grande saison. Et je suis certain que celle-ci le sera autant."
Formula Pax
Fait non négligeable, la grande majorité des conflits petits et grands du championnat 2010 portaient sur des aspects sportifs. Que le sujet soit technique, réglementaire ou interpersonnel, l'esprit compétitif était au centre des débats. Comme patron d'écurie mais surtout comme président de la FOTA (l'association des équipes), Whitmarsh s'en réjouit.
"L'an dernier, nous avons probablement vécu la saison la moins politisée dans l'Histoire de la F1", dit-il. "Je ne peux promettre que ce sera de nouveau le cas (…) mais je ferai de mon mieux pour que nous nous concentrions sur ces braves jeunes hommes aux commandes des plus perfectionnées voitures au monde, et sur des courses excitantes."
"La F1, c'est cela. Pas les polémiques du paddock."
En effet, le plateau a tous les ingrédients d'une saison aussi compétitive - sinon plus - que la saison 2010 : un potentiel de cinq écuries capables de remporter des courses et peut-être une demi-douzaine de candidats au titre, sans oublier des stratégies influencées par Pirelli.
Mais avec l'ajout du Grand Prix d'Inde, la saison comptera 20 manches cette année ; ce serait le maximum possible d'un point de vue logistique. De plus, le championnat s'étalera du 13 mars au 27 novembre, soit une période de huit mois et demi. C'est beaucoup.
"Je crois que ce sera très dur", opine Whitmarsh, le patron de McLaren, à Crash.net. "Il s'agira de la plus longue saison de trois façons. 20 courses, c'est plus que jamais. Nous n'avons jamais connu un calendrier aussi large. Et finalement, toutes ces courses à l'extérieur de l'Europe signifient de nombreux déplacements, ce qui sera très, très dur sur les mécanos, les ingénieurs, les techniciens et toute l'équipe."
Malgré la fatigue qui s'annonce, la passion de la course demeure la même. Et avoir autant de Grands Prix sur le calendrier, c'est une bonne chose pour la Formule 1 et les fans : "Il faut comprendre que nous sommes dans l'industrie du spectacle. Notre discipline est fantastique et nous devons séduire de nouveaux marchés. Par exemple, se rendre en Inde sera un défi tout en étant excitant."
Le championnat 2010 comptait 19 courses, alors tout le personnel des équipes sait à quoi s'attendre cette année. "Je crois que tout le monde était soulagé lorsque la saison s'est terminée", reconnaît Whitmarsh. "Mais ce fut une très grande saison. Et je suis certain que celle-ci le sera autant."
Formula Pax
Fait non négligeable, la grande majorité des conflits petits et grands du championnat 2010 portaient sur des aspects sportifs. Que le sujet soit technique, réglementaire ou interpersonnel, l'esprit compétitif était au centre des débats. Comme patron d'écurie mais surtout comme président de la FOTA (l'association des équipes), Whitmarsh s'en réjouit.
"L'an dernier, nous avons probablement vécu la saison la moins politisée dans l'Histoire de la F1", dit-il. "Je ne peux promettre que ce sera de nouveau le cas (…) mais je ferai de mon mieux pour que nous nous concentrions sur ces braves jeunes hommes aux commandes des plus perfectionnées voitures au monde, et sur des courses excitantes."
"La F1, c'est cela. Pas les polémiques du paddock."