Pirelli, le pneumaticien de la F1, apprécie l'idée émise par Bernie Ecclestone, de "faire pleuvoir" pendant les courses de F1.
Vous avez réagi sans ambiguïté sur notre page Facebook pour rejeter la proposition du président de la FOM d'installer un système d'arrosage sur certains circuits et de l'actionner pour rendre les courses plus spectaculaires mais Pirelli a aimé.
"J'ai trouvé que les commentaires de Bernie Ecclestone ont été très intéressants", a déclaré le patron de Pirelli Motorsport Paul Hembery à Autosport.
Il faut dire que le Britannique est aussi un peu à l'origine de cette idée : "Après nos essais sur une piste arrosée à Abou Dhabi je l'ai vu et je lui ai dit 'pourquoi ne pas faire des courses avec des pistes humidifiées artificiellement ? La technologie des asperseurs nous le permet".
L'exemple des courses en nocturne
"Du point du vue du pneumaticien, il n'y a pas de difficulté. Nous avons eu de grandes courses dans le passé quand un facteur extérieur, comme la météo, s'est mis de la partie. Alors pourquoi pas ?"
"Le but, au final, c'est de proposer quelque chose que les gens vont regarder", a-t-il ajouté. "La F1 est en concurrence avec d'autres sports. Les gens veulent voir quelque chose d'intéressant. Et de ce point de vue une piste détrempée de manière artificielle pourrait donner du spectacle."
"Un bon exemple d'une idée radicale qui a apporté un plus est le Grand Prix de Singapour. On aurait pu penser que courir sous une lumière artificielle fût superflu. Mais au final on a l'un des Grands Prix les plus attractifs de la saison."
Vous avez réagi sans ambiguïté sur notre page Facebook pour rejeter la proposition du président de la FOM d'installer un système d'arrosage sur certains circuits et de l'actionner pour rendre les courses plus spectaculaires mais Pirelli a aimé.
"J'ai trouvé que les commentaires de Bernie Ecclestone ont été très intéressants", a déclaré le patron de Pirelli Motorsport Paul Hembery à Autosport.
Il faut dire que le Britannique est aussi un peu à l'origine de cette idée : "Après nos essais sur une piste arrosée à Abou Dhabi je l'ai vu et je lui ai dit 'pourquoi ne pas faire des courses avec des pistes humidifiées artificiellement ? La technologie des asperseurs nous le permet".
L'exemple des courses en nocturne
"Du point du vue du pneumaticien, il n'y a pas de difficulté. Nous avons eu de grandes courses dans le passé quand un facteur extérieur, comme la météo, s'est mis de la partie. Alors pourquoi pas ?"
"Le but, au final, c'est de proposer quelque chose que les gens vont regarder", a-t-il ajouté. "La F1 est en concurrence avec d'autres sports. Les gens veulent voir quelque chose d'intéressant. Et de ce point de vue une piste détrempée de manière artificielle pourrait donner du spectacle."
"Un bon exemple d'une idée radicale qui a apporté un plus est le Grand Prix de Singapour. On aurait pu penser que courir sous une lumière artificielle fût superflu. Mais au final on a l'un des Grands Prix les plus attractifs de la saison."