Fernando Alonso répète que son engagement en F1 se fait dans un seul but : gagner le maximum de titres.
"Je ne suis pas là pour me faire des amis", a déclaré le double champion du monde au journal Marca. "Voyons si je gagne assez pour laisser une trace dans l'histoire. Si ce n'est pas le cas, de toutes façons, j'arrêterai très heureux et fier de ce que j'aurai vécu."
À l'approche de sa deuxième saison chez Ferrari, l'Espagnol a loué l'état d'esprit de son équipe : "Je m'attendais à entrer dans une équipe de légende et magique et j'ai été surpris. C'était mieux encore que je ne l'espérais". Par conséquent, il ne pense pas du tout à un départ. "Que je finisse deuxième, huitième ou vingt-troisième, je suis heureux ici", a-t-il dit.
Une offre de Prost
Ce qui le gêne en F1 ? "Que ce ne soit pas de la pure course automobile. La F1, c'est aussi beaucoup de business et un carrefour d'intérêts. Les voitures ne sont pas identiques. Les conditions ne sont pas les mêmes pour tous. Nous le savons et l'acceptons tous. C'est peut-être aussi le charme de la F1."
Quand le journal espagnol le questionne sur la pire voiture qu'il ait eu à conduire, Alonso désigne la Renault de 2009. "C'était la pire mais j'ai fait un podium à Singapour. Les meilleures étaient pour lui les Renault de 2004 et 2005.
"Il y avait concurrence au niveau de pneumatiques entre Bridgestone et Michelin, ce qui nous rendait deux secondes plus vite au tour, déjà avec 900 chevaux", se souvient-il. "Même avec une aérodynamique inférieure, à Cheste (Valence) nous tournions en 1'8 contre 1'14 aujourd'hui. Ces voitures étaient vraiment très rapides."
Alonso a aussi révélé que quand sa carrière a commencé avec Minardi, il y a dix ans, il lui a été proposé de rejoindre l'écurie Prost, motorisée par Ferrari. "L'idée était d'aller là-bas et peut-être d'enchaîner sur un poste d'essayeur Ferrari. Mais cela ne garantissait rien. Renault me donnait une meilleure opportunité."
"Je ne suis pas là pour me faire des amis", a déclaré le double champion du monde au journal Marca. "Voyons si je gagne assez pour laisser une trace dans l'histoire. Si ce n'est pas le cas, de toutes façons, j'arrêterai très heureux et fier de ce que j'aurai vécu."
À l'approche de sa deuxième saison chez Ferrari, l'Espagnol a loué l'état d'esprit de son équipe : "Je m'attendais à entrer dans une équipe de légende et magique et j'ai été surpris. C'était mieux encore que je ne l'espérais". Par conséquent, il ne pense pas du tout à un départ. "Que je finisse deuxième, huitième ou vingt-troisième, je suis heureux ici", a-t-il dit.
Une offre de Prost
Ce qui le gêne en F1 ? "Que ce ne soit pas de la pure course automobile. La F1, c'est aussi beaucoup de business et un carrefour d'intérêts. Les voitures ne sont pas identiques. Les conditions ne sont pas les mêmes pour tous. Nous le savons et l'acceptons tous. C'est peut-être aussi le charme de la F1."
Quand le journal espagnol le questionne sur la pire voiture qu'il ait eu à conduire, Alonso désigne la Renault de 2009. "C'était la pire mais j'ai fait un podium à Singapour. Les meilleures étaient pour lui les Renault de 2004 et 2005.
"Il y avait concurrence au niveau de pneumatiques entre Bridgestone et Michelin, ce qui nous rendait deux secondes plus vite au tour, déjà avec 900 chevaux", se souvient-il. "Même avec une aérodynamique inférieure, à Cheste (Valence) nous tournions en 1'8 contre 1'14 aujourd'hui. Ces voitures étaient vraiment très rapides."
Alonso a aussi révélé que quand sa carrière a commencé avec Minardi, il y a dix ans, il lui a été proposé de rejoindre l'écurie Prost, motorisée par Ferrari. "L'idée était d'aller là-bas et peut-être d'enchaîner sur un poste d'essayeur Ferrari. Mais cela ne garantissait rien. Renault me donnait une meilleure opportunité."