Pirelli a promis de ramener le nombre d’arrêts aux stands à l’avenir à un maximum de trois, estimant que quatre stops sont de trop.
Sur un circuit traditionnellement pauvre en spectacle et dépassements, les pneus Pirelli ont une nouvelle fois permis d’inverser la tendance ce week-end. Le Grand Prix d’Espagne a ainsi vu s’affronter Sebastian Vettel et Lewis Hamilton jusqu’au dernier tour de course. C’était la première fois depuis 2000 que l’épreuve espagnole n’avait plus été remportée depuis la pole position.
Si Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport, se satisfait du spectacle engendré par ses pneus, il ne peut toutefois être pleinement satisfait. Une nouvelle fois, les équipes de pointe ont opté pour une stratégie à quatre arrêts, ce qui est un stop de trop que la norme souhaitée par Pirelli.
Par ailleurs, Hembery a également tenu à faire taire les critiques dont a fait l’objet le nouveau pneu dur. Il souligne que le meilleur temps du Grand Prix a justement été réalisé par cette gomme, qui avait pourtant été vivement critiquée par Lewis Hamilton.
"C’était certainement une fin de course sensationnelle, avec la bataille entre Vettel et Hamilton se terminant une nouvelle fois jusqu’au dernier tour. Tous deux ont réalisé une superbe course, nous offrant un spectacle fantastique, et c’était excitant de voir ce départ incroyable réalisé par Fernando Alonso et Ferrari," a-t-il déclaré.
"Même si c’était une superbe course, nous ne sommes toujours pas contents d’avoir quatre arrêts aux stands. Notre objectif est d’en avoir trois. Ces quatre arrêts étaient la conséquence du différentiel de performance entre les pneus tendres et durs. Cela a motivé les équipes à opter pour une stratégie de type sprint, même s’il était intéressant de noter que le meilleur tour a été réalisé avec le nouveau pneu dur."
"Nous regarderons à cette problématique à nouveau à l’avenir mais pour l’instant, nous sommes excités à l’idée d’aborder un défi complètement différent : celui des circuits urbains de Monaco et du Canada avec l’introduction de notre nouveau pneu super-tendre rouge PZero."
www.toilef1.com
Sur un circuit traditionnellement pauvre en spectacle et dépassements, les pneus Pirelli ont une nouvelle fois permis d’inverser la tendance ce week-end. Le Grand Prix d’Espagne a ainsi vu s’affronter Sebastian Vettel et Lewis Hamilton jusqu’au dernier tour de course. C’était la première fois depuis 2000 que l’épreuve espagnole n’avait plus été remportée depuis la pole position.
Si Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport, se satisfait du spectacle engendré par ses pneus, il ne peut toutefois être pleinement satisfait. Une nouvelle fois, les équipes de pointe ont opté pour une stratégie à quatre arrêts, ce qui est un stop de trop que la norme souhaitée par Pirelli.
Par ailleurs, Hembery a également tenu à faire taire les critiques dont a fait l’objet le nouveau pneu dur. Il souligne que le meilleur temps du Grand Prix a justement été réalisé par cette gomme, qui avait pourtant été vivement critiquée par Lewis Hamilton.
"C’était certainement une fin de course sensationnelle, avec la bataille entre Vettel et Hamilton se terminant une nouvelle fois jusqu’au dernier tour. Tous deux ont réalisé une superbe course, nous offrant un spectacle fantastique, et c’était excitant de voir ce départ incroyable réalisé par Fernando Alonso et Ferrari," a-t-il déclaré.
"Même si c’était une superbe course, nous ne sommes toujours pas contents d’avoir quatre arrêts aux stands. Notre objectif est d’en avoir trois. Ces quatre arrêts étaient la conséquence du différentiel de performance entre les pneus tendres et durs. Cela a motivé les équipes à opter pour une stratégie de type sprint, même s’il était intéressant de noter que le meilleur tour a été réalisé avec le nouveau pneu dur."
"Nous regarderons à cette problématique à nouveau à l’avenir mais pour l’instant, nous sommes excités à l’idée d’aborder un défi complètement différent : celui des circuits urbains de Monaco et du Canada avec l’introduction de notre nouveau pneu super-tendre rouge PZero."
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