Le team principal de Ferrari, Stefano Domenicali, ne peut guère se satisfaire de la performance réalisée par son équipe au cours du Grand Prix d’Espagne.
La Scuderia a disputé l’une de ses pires courses de la saison. Malgré un superbe départ, qui en a surpris plus d’un, Fernando Alonso a dû se contenter d’une lointaine cinquième place à l’arrivée, à un tour du vainqueur Sebastian Vettel.
Pour Domenicali, un tel écart n’est pas acceptable pour une équipe du rang de Ferrari. Une nouvelle fois, le Grand Prix de ce dimanche a mis en avant la faiblesse de la 150° Italia, à savoir un manque flagrant d’appui aérodynamique.
"C’est évident que se faire dépasser n’est pas facile à digérer. C’est même plus difficile après avoir vu un pilote du calibre de Fernando réaliser une telle performance au départ et ensuite se battre comme un lion pour maintenir derrière lui des pilotes avec des voitures clairement plus rapides pendant presque vingt tours. Nous devons lui fournir, ainsi qu’à Felipe, une victoire avec laquelle ils peuvent se battre jusqu’à la fin de la course et pas seulement au départ," a déclaré Domenicali.
"Sur un circuit qui favorise les voitures qui ont beaucoup d’appui aérodynamique, la nôtre accuse un manque dans ce domaine et c’était flagrant hier, en particulier quand nous avons chaussé les nouveaux pneus durs apportés à Barcelone par Pirelli. Nous n’avons jamais réussi à faire fonctionner ce pneu et nous étions au moins deux secondes plus lents que les quatre premiers."
L’écart est à présent important au championnat, Alonso pointant au cinquième rang à 67 points de Vettel. Ferrari ne baisse toutefois pas encore les bras. L’équipe de Maranello continuera de travailler d’arrache-pied pour trouver plus d’appui aéro.
"Que faire maintenant ? Continuer à travailler afin d’améliorer la voiture et de trouver l’appui aérodynamique qu’il nous manque. Nous abordons maintenant une série de trois courses qui verra l’utilisation des pneus tendres et super tendres : nous verrons ce qu’il se passera et nous analyserons la situation à ce moment-là."
www.toilf1.com
La Scuderia a disputé l’une de ses pires courses de la saison. Malgré un superbe départ, qui en a surpris plus d’un, Fernando Alonso a dû se contenter d’une lointaine cinquième place à l’arrivée, à un tour du vainqueur Sebastian Vettel.
Pour Domenicali, un tel écart n’est pas acceptable pour une équipe du rang de Ferrari. Une nouvelle fois, le Grand Prix de ce dimanche a mis en avant la faiblesse de la 150° Italia, à savoir un manque flagrant d’appui aérodynamique.
"C’est évident que se faire dépasser n’est pas facile à digérer. C’est même plus difficile après avoir vu un pilote du calibre de Fernando réaliser une telle performance au départ et ensuite se battre comme un lion pour maintenir derrière lui des pilotes avec des voitures clairement plus rapides pendant presque vingt tours. Nous devons lui fournir, ainsi qu’à Felipe, une victoire avec laquelle ils peuvent se battre jusqu’à la fin de la course et pas seulement au départ," a déclaré Domenicali.
"Sur un circuit qui favorise les voitures qui ont beaucoup d’appui aérodynamique, la nôtre accuse un manque dans ce domaine et c’était flagrant hier, en particulier quand nous avons chaussé les nouveaux pneus durs apportés à Barcelone par Pirelli. Nous n’avons jamais réussi à faire fonctionner ce pneu et nous étions au moins deux secondes plus lents que les quatre premiers."
L’écart est à présent important au championnat, Alonso pointant au cinquième rang à 67 points de Vettel. Ferrari ne baisse toutefois pas encore les bras. L’équipe de Maranello continuera de travailler d’arrache-pied pour trouver plus d’appui aéro.
"Que faire maintenant ? Continuer à travailler afin d’améliorer la voiture et de trouver l’appui aérodynamique qu’il nous manque. Nous abordons maintenant une série de trois courses qui verra l’utilisation des pneus tendres et super tendres : nous verrons ce qu’il se passera et nous analyserons la situation à ce moment-là."
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