Seul pilote du Top 7 des essais libres 2 disputés vendredi matin à ne pas disposer d'une monoplace équipée d'extracteurs -ou diffuseurs- arrière controversés, Mark Webber (Red Bull) a estimé que les bolides Williams, Brawn GP et Toyota ne seront pas forcément aux avant-postes dimanche. Ces trois voitures ont pourtant éclaboussé de leur vélocité les essais libres de vendredi sur l'Albert Park de Melbourne. Nico Rosberg y a signé à chaque fois les meilleurs chronos.
Toyota, Brawn GP et Williams «utiliseront sagement cet avantage légal»
Malgré la domination exercée par le «gang des extracteurs», le pilote australien (Photo Reuters) prédit une course bien différente dimanche et indépendante des enseignements des essais. «Je pense que personne ici n'a atteint la vitesse ultime. Il faut attendre dimanche, a confié Mark Webber au site internet autosport.com. Et même alors, on peut s'attendre à ce que des écuries ne montrent pas leur réelle vitesse, surtout si elles ont quelque atout encore dans la manche. Donc je pense qu'elles (Toyota, Brawn GP et Williams) utiliseront sagement cet avantage légal . Et je ne redoute pas que nous assistions à deux types de Championnats dans cette course (entre écuries dotées de diffuseurs arrière standard et celles qui ont imaginé des diffuseurs spécifiques).»
Après des mois passés à rééduquer sa jambe cassée, le pilote australien veut avant tout prendre du plaisir au volant et ne compte pas se gâcher la vie en prédictions tortueuses. «Ce sera un Grand Prix compétitif, préfère-t-il s'enthousiasmer. On ne devrait pas l'habiller d'un discours réglementaire. Nous les pilotes, nous ne pouvons rien y faire, tout ça incombe aux ingénieurs.»
La fiabilité de la RB5 en question
Le relativement bon résultat du plus imposant, au sens propre, pilote du plateau (à 3 dixièmes de Nico Rosberg dans les essais libres 2) ne fait toutefois pas oublier la journée difficile vécue par l'écurie de Dietrich Mateschitz. Mark Webber n'a pas roulé autant qu'il a voulu. «Cela n'est pas allé si bien dans la première séance (7 tours) a-t-il confié, tandis que son coéquipier Sebastian Vettel (4 tours) terminait en queue des feuilles de temps. J'ai connu un problème de joint sur l'arbre de transmission. J'aurai voulu rouler plus dans la deuxième séance (30 tours) mais, alors que tout se déroulait selon nos plans, le pot d'échappement nous a causé des soucis.» Et le pilote d'avouer finalement : «Ce n'est pas idéal question fiabilité mais la vitesse n'est cependant pas mauvaise. Nous verrons ce qu'il se passera le reste du week-end.»
Toyota, Brawn GP et Williams «utiliseront sagement cet avantage légal»
Malgré la domination exercée par le «gang des extracteurs», le pilote australien (Photo Reuters) prédit une course bien différente dimanche et indépendante des enseignements des essais. «Je pense que personne ici n'a atteint la vitesse ultime. Il faut attendre dimanche, a confié Mark Webber au site internet autosport.com. Et même alors, on peut s'attendre à ce que des écuries ne montrent pas leur réelle vitesse, surtout si elles ont quelque atout encore dans la manche. Donc je pense qu'elles (Toyota, Brawn GP et Williams) utiliseront sagement cet avantage légal . Et je ne redoute pas que nous assistions à deux types de Championnats dans cette course (entre écuries dotées de diffuseurs arrière standard et celles qui ont imaginé des diffuseurs spécifiques).»
Après des mois passés à rééduquer sa jambe cassée, le pilote australien veut avant tout prendre du plaisir au volant et ne compte pas se gâcher la vie en prédictions tortueuses. «Ce sera un Grand Prix compétitif, préfère-t-il s'enthousiasmer. On ne devrait pas l'habiller d'un discours réglementaire. Nous les pilotes, nous ne pouvons rien y faire, tout ça incombe aux ingénieurs.»
La fiabilité de la RB5 en question
Le relativement bon résultat du plus imposant, au sens propre, pilote du plateau (à 3 dixièmes de Nico Rosberg dans les essais libres 2) ne fait toutefois pas oublier la journée difficile vécue par l'écurie de Dietrich Mateschitz. Mark Webber n'a pas roulé autant qu'il a voulu. «Cela n'est pas allé si bien dans la première séance (7 tours) a-t-il confié, tandis que son coéquipier Sebastian Vettel (4 tours) terminait en queue des feuilles de temps. J'ai connu un problème de joint sur l'arbre de transmission. J'aurai voulu rouler plus dans la deuxième séance (30 tours) mais, alors que tout se déroulait selon nos plans, le pot d'échappement nous a causé des soucis.» Et le pilote d'avouer finalement : «Ce n'est pas idéal question fiabilité mais la vitesse n'est cependant pas mauvaise. Nous verrons ce qu'il se passera le reste du week-end.»