Pas moins de 13 pilotes figurent sur la liste de remplaçants possibles du Brésilien Felipe Massa, blessé à la tête lors des qualifications du Grand Prix de Hongrie.
D’abord, Michael Schumacher.
Des propos contradictoires ont été tenus mardi par son attachée de presse, Sabine Kehm, et son agent, Willi Weber. Même le directeur de communications de l’écurie Ferrari, Luca Colajanni, a laissé entendre que Schumacher pourrait sortir de sa retraite et prendre le volant de la F60 de Massa.
Certains suggèrent que si Schumacher lui-même demeure silencieux, cela prouve qu’il jongle avec l’idée.
Parmi les autres remplaçants possibles, on note les deux pilotes d’essais de Ferrari, Luca Badoer et Marc Gené, de même que Fernando Alonso, Sébastien Bourdais, Nelson Piquet, Nico Hulkenberg et Jacques Villeneuve.
On peut inclure dans cette liste les pilotes Force India, Giancarlo Fisichella, Adrian Sutil et Tonio Liuzzi, de même que Robert Kubica.
Le journal italien La Stampa affirme que David Coulthard peut être contacté.
L’ancien pilote de F1, Hans-Joachim Stuck, croit que la piste Bourdais est la plus intéressante.
« Bourdais possède une solide expérience de la F1, il a piloté cette saison, il connaît le moteur Ferrari(car il propulsait sa Toro Rosso) et sa carrière est gérée par le manager de Massa, Nicolas Todt. Je crois qu’il ferait beaucoup mieux que ce qu’il n’a fait chez Toro Rosso, » de déclarer Stuck.
Le patron de Toro Rosso, Franz Tost, soutient toutefois Fernando Alonso.
« La possibilité de voir Alonso chez Ferrari était déjà discutée dans le paddock dimanche soir, » a confirmé Tost.
« Si on élimine les problèmes de contrats et de commanditaires, le choix d’Alonso est parfaitement logique ».
Mais une folle rumeur indique que le contrat de Renault avec Alonso pourrait ne pas poser problème. Ce contrat possède sûrement une porte de sortie en cas d’incompétence de l’écurie. C’est le cas du contrat de la majorité des pilotes.
Dans la décision des commissaires sportifs d’exclure Renault du prochain Grand Prix, on note que « l’écurie n’a pas informé son pilote du problème de roue et ne lui a pas donné d’instructions, en dépit du fait que son pilote ait communiqué par radio qu’il croyait être victime d’une crevaison ».
D’abord, Michael Schumacher.
Des propos contradictoires ont été tenus mardi par son attachée de presse, Sabine Kehm, et son agent, Willi Weber. Même le directeur de communications de l’écurie Ferrari, Luca Colajanni, a laissé entendre que Schumacher pourrait sortir de sa retraite et prendre le volant de la F60 de Massa.
Certains suggèrent que si Schumacher lui-même demeure silencieux, cela prouve qu’il jongle avec l’idée.
Parmi les autres remplaçants possibles, on note les deux pilotes d’essais de Ferrari, Luca Badoer et Marc Gené, de même que Fernando Alonso, Sébastien Bourdais, Nelson Piquet, Nico Hulkenberg et Jacques Villeneuve.
On peut inclure dans cette liste les pilotes Force India, Giancarlo Fisichella, Adrian Sutil et Tonio Liuzzi, de même que Robert Kubica.
Le journal italien La Stampa affirme que David Coulthard peut être contacté.
L’ancien pilote de F1, Hans-Joachim Stuck, croit que la piste Bourdais est la plus intéressante.
« Bourdais possède une solide expérience de la F1, il a piloté cette saison, il connaît le moteur Ferrari(car il propulsait sa Toro Rosso) et sa carrière est gérée par le manager de Massa, Nicolas Todt. Je crois qu’il ferait beaucoup mieux que ce qu’il n’a fait chez Toro Rosso, » de déclarer Stuck.
Le patron de Toro Rosso, Franz Tost, soutient toutefois Fernando Alonso.
« La possibilité de voir Alonso chez Ferrari était déjà discutée dans le paddock dimanche soir, » a confirmé Tost.
« Si on élimine les problèmes de contrats et de commanditaires, le choix d’Alonso est parfaitement logique ».
Mais une folle rumeur indique que le contrat de Renault avec Alonso pourrait ne pas poser problème. Ce contrat possède sûrement une porte de sortie en cas d’incompétence de l’écurie. C’est le cas du contrat de la majorité des pilotes.
Dans la décision des commissaires sportifs d’exclure Renault du prochain Grand Prix, on note que « l’écurie n’a pas informé son pilote du problème de roue et ne lui a pas donné d’instructions, en dépit du fait que son pilote ait communiqué par radio qu’il croyait être victime d’une crevaison ».