Patron de l’équipe Brawn GP, Ross Brawn connaît bien Michael Schumacher…
Depuis son arrivée chez Benetton en 1991, pour son deuxième Grand Prix dans la catégorie reine, le pilote allemand a côtoyé celui qui était alors directeur technique de l’écurie managée par Flavio Briatore.
Ross Brawn a ensuite suivi Michael tout au long de sa fabuleuse aventure au sein de la Scuderia Ferrari sous la houlette de Jean Todt.
« Je suis convaincu qu’il sera fort » affirmait Brawn dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport. « Je me souviens toujours de la grande course qu'il a faite au Brésil en 2006. »
« Bien sûr, il est évident qu'il va devoir se familiarise avec la voiture, mais je suis sûr que s'il ne gagne pas une des courses restantes cette saison, ça ne sera pas de sa faute, mais parce que Ferrari n'est pas en position de gagner » déclarait-il.
« Pour lui, après le terrible accident de Massa, c'était naturel de revenir étant donné les besoins de son ancienne équipe. A mon avis il y a aussi un autre aspect à considérer : le fait que ceci n’est que pour un temps limité » ajoutait le patron de l’équipe Brawn GP. « Michael revient avec sa détermination et son sérieux habituels, mais par-dessus tout avec l'intention de s'amuser. Personnellement, j'admets que je suis curieux et impatient de le voir au travail ! »
« La F1 n'a pas beaucoup changé sur le plan du pilotage. La plus grande chose à laquelle Michael va faire face, c’est l’utilisation des pneus lisses. Mais ce n'est pas un désavantage parce que ces pneus rendent le comportement de la voiture plus prévisible. C'est vrai aussi qu’il ne connaît pas le circuit de Valencia, mais le simulateur l'aura aidé » concluait Brawn.
Depuis son arrivée chez Benetton en 1991, pour son deuxième Grand Prix dans la catégorie reine, le pilote allemand a côtoyé celui qui était alors directeur technique de l’écurie managée par Flavio Briatore.
Ross Brawn a ensuite suivi Michael tout au long de sa fabuleuse aventure au sein de la Scuderia Ferrari sous la houlette de Jean Todt.
« Je suis convaincu qu’il sera fort » affirmait Brawn dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport. « Je me souviens toujours de la grande course qu'il a faite au Brésil en 2006. »
« Bien sûr, il est évident qu'il va devoir se familiarise avec la voiture, mais je suis sûr que s'il ne gagne pas une des courses restantes cette saison, ça ne sera pas de sa faute, mais parce que Ferrari n'est pas en position de gagner » déclarait-il.
« Pour lui, après le terrible accident de Massa, c'était naturel de revenir étant donné les besoins de son ancienne équipe. A mon avis il y a aussi un autre aspect à considérer : le fait que ceci n’est que pour un temps limité » ajoutait le patron de l’équipe Brawn GP. « Michael revient avec sa détermination et son sérieux habituels, mais par-dessus tout avec l'intention de s'amuser. Personnellement, j'admets que je suis curieux et impatient de le voir au travail ! »
« La F1 n'a pas beaucoup changé sur le plan du pilotage. La plus grande chose à laquelle Michael va faire face, c’est l’utilisation des pneus lisses. Mais ce n'est pas un désavantage parce que ces pneus rendent le comportement de la voiture plus prévisible. C'est vrai aussi qu’il ne connaît pas le circuit de Valencia, mais le simulateur l'aura aidé » concluait Brawn.