Les équipes désirant intégrer le championnat du monde de Formule 1 à partir de 2011 avaient jusqu’à aujourd’hui pour en faire part à la FIA.
Et, tout comme Prodrive, Lola a annoncé aujourd’hui qu’elle ne se porterait pas candidate pour participer à la 62ème saison de Formule 1 dans la mesure où elle estime ne pas avoir suffisamment de temps pour se préparer correctement.
"Une entrée en 2010 avec la réduction des coûts et les performances équilibrées était parfaite pour Lola. Nous possédons déjà des installations aux standards de la F1 dans nos quartiers généraux de Huntingdon."
"Malheureusement, notre projet F1 de 2010 qui était bien avancé et incluait un programme important en soufflerie a dû être interrompu en juin 2009 (lorsque la candidature de Lola a été refusée par la FIA, ndlr)," regrette Martin Birrane, le propriétaire du constructeur britannique.
"Les demandes récemment formulées pour 2011 nous ont laissé trop peu de temps pour nous préparer pour ce qui serait un programme assez différent."
Robin Brundle, manager général de Lola, reste quant à lui positif : "Lola est impatient de renforcer ses partenariats avec des équipes de F1 existantes et sa riche variété de clients."
Et, tout comme Prodrive, Lola a annoncé aujourd’hui qu’elle ne se porterait pas candidate pour participer à la 62ème saison de Formule 1 dans la mesure où elle estime ne pas avoir suffisamment de temps pour se préparer correctement.
"Une entrée en 2010 avec la réduction des coûts et les performances équilibrées était parfaite pour Lola. Nous possédons déjà des installations aux standards de la F1 dans nos quartiers généraux de Huntingdon."
"Malheureusement, notre projet F1 de 2010 qui était bien avancé et incluait un programme important en soufflerie a dû être interrompu en juin 2009 (lorsque la candidature de Lola a été refusée par la FIA, ndlr)," regrette Martin Birrane, le propriétaire du constructeur britannique.
"Les demandes récemment formulées pour 2011 nous ont laissé trop peu de temps pour nous préparer pour ce qui serait un programme assez différent."
Robin Brundle, manager général de Lola, reste quant à lui positif : "Lola est impatient de renforcer ses partenariats avec des équipes de F1 existantes et sa riche variété de clients."