Martin Whitmarsh appuie la décision de la FIA ne pas avoir entamé d'action envers Fernando Alonso.
Par le passé, durant l'ère de Max Mosley, ce genre de commentaires auraient été certainement sanctionnés, mais le nouveau président Jean Todt a laissé les personnes s'exprimer et s'excuser, mais ne s'est pas mêlé des événements.
Et tandis que par le passé, ces commentaires auraient engagés des hostilités entre les deux rivaux de longues dates McLaren et Ferrari, le patron de l'équipe britannique Martin Whitmarsh déclare que les écarts de langage de Fernando Alonso "ne l'inquiètent pas".
Lors d'une rencontre avec des supporters à Londres, le président de la FOTA indique : "Les paroles d'Alonso ont été exagérées mais les gens aiment bien cela."
"Dans le passé on aurait pas été capable de poser la question. Il y avait une limite, une ligne mince, mais pouvoir remettre en cause une décision d'un commissaire, de la fédération ou d'un officiel ? Honnêtement, on ne pouvait pas faire ça."
Par le passé, durant l'ère de Max Mosley, ce genre de commentaires auraient été certainement sanctionnés, mais le nouveau président Jean Todt a laissé les personnes s'exprimer et s'excuser, mais ne s'est pas mêlé des événements.
Et tandis que par le passé, ces commentaires auraient engagés des hostilités entre les deux rivaux de longues dates McLaren et Ferrari, le patron de l'équipe britannique Martin Whitmarsh déclare que les écarts de langage de Fernando Alonso "ne l'inquiètent pas".
Lors d'une rencontre avec des supporters à Londres, le président de la FOTA indique : "Les paroles d'Alonso ont été exagérées mais les gens aiment bien cela."
"Dans le passé on aurait pas été capable de poser la question. Il y avait une limite, une ligne mince, mais pouvoir remettre en cause une décision d'un commissaire, de la fédération ou d'un officiel ? Honnêtement, on ne pouvait pas faire ça."