Premier pilote russe en F1, Vitaly Petrov n'est pas sûr d'y rester l'année prochaine. Pour cela, sa performance à Suzuka sera très importante et le vice-champion GP2 le sait.
"Je travaille dur, je progresse, particulièrement en ce qui concerne mon feed-back ainsi que ma compréhension de la voiture. Malheureusement, cela ne s'est pas traduit par de bons résultats. Maintenant, je dois montrer ce dont je suis capable à l'équipe afin de lui montrer que je mérite de rester l'année prochaine", a déclaré Petrov dans un communiqué de Renault. "Je sais que c'est un rendez-vous très attendu et je suis heureux de m'y rendre pour la première fois. Il est difficile pour moi d'en dire davantage car je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Ce sera une expérience entièrement nouvelle mais je sais déjà qu'il s'agit d'un circuit très technique !
"J'espère que la voiture y sera compétitive. Le début du tour a l'air extrêmement rapide, avec beaucoup de changements de direction. Si vous manquez un virage, vous traînez vraiment tout le handicap jusqu'à la fin du secteur. Je pense qu'il sera important de s'assurer que le f-duct fonctionne bien, car une partie importante du tour se passe à fond et les lignes droites sont assez longues."
'Sur les dernières courses, les résultats n'ont pas été bons, essentiellement en raison d'un manque d'expérience et de réussite''
Vitaly Petrov
Le team principal Éric Boullier, qui est actuellement sollicité par plusieurs pilotes de très haut niveau qui souhaitent devenir l'équipier de Robert Kubica l'année prochaine, tient encore à Petrov mais il a affirmé que celui-ce devait démontrer qu'il a sa place dans l'équipe. Or les derniers résultats laissent place au doute. "Sur les dernières courses, les résultats n'ont pas été bons, essentiellement en raison d'un manque d'expérience et de réussite."
Entre le Grand Prix de Singapour et celui du Japon, Petrov n'a pas relâché ses efforts. "Je suis rentré juste après la course" dit-il. "Je me suis alors entraîné comme d'habitude puis je suis allé à l'usine pendant quelques jours afin de rencontrer mes ingénieurs, de discuter de Singapour et d'en tirer les leçons. Bien sûr, nous avons également préparé Suzuka et les ingénieurs m'ont transmis des données de l'année dernière pour que je les étudie."
"Je travaille dur, je progresse, particulièrement en ce qui concerne mon feed-back ainsi que ma compréhension de la voiture. Malheureusement, cela ne s'est pas traduit par de bons résultats. Maintenant, je dois montrer ce dont je suis capable à l'équipe afin de lui montrer que je mérite de rester l'année prochaine", a déclaré Petrov dans un communiqué de Renault. "Je sais que c'est un rendez-vous très attendu et je suis heureux de m'y rendre pour la première fois. Il est difficile pour moi d'en dire davantage car je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Ce sera une expérience entièrement nouvelle mais je sais déjà qu'il s'agit d'un circuit très technique !
"J'espère que la voiture y sera compétitive. Le début du tour a l'air extrêmement rapide, avec beaucoup de changements de direction. Si vous manquez un virage, vous traînez vraiment tout le handicap jusqu'à la fin du secteur. Je pense qu'il sera important de s'assurer que le f-duct fonctionne bien, car une partie importante du tour se passe à fond et les lignes droites sont assez longues."
'Sur les dernières courses, les résultats n'ont pas été bons, essentiellement en raison d'un manque d'expérience et de réussite''
Vitaly Petrov
Le team principal Éric Boullier, qui est actuellement sollicité par plusieurs pilotes de très haut niveau qui souhaitent devenir l'équipier de Robert Kubica l'année prochaine, tient encore à Petrov mais il a affirmé que celui-ce devait démontrer qu'il a sa place dans l'équipe. Or les derniers résultats laissent place au doute. "Sur les dernières courses, les résultats n'ont pas été bons, essentiellement en raison d'un manque d'expérience et de réussite."
Entre le Grand Prix de Singapour et celui du Japon, Petrov n'a pas relâché ses efforts. "Je suis rentré juste après la course" dit-il. "Je me suis alors entraîné comme d'habitude puis je suis allé à l'usine pendant quelques jours afin de rencontrer mes ingénieurs, de discuter de Singapour et d'en tirer les leçons. Bien sûr, nous avons également préparé Suzuka et les ingénieurs m'ont transmis des données de l'année dernière pour que je les étudie."