Sam Michael, le directeur technique de Williams, ne s'attend pas à voir l'aileron arrière ajustable devenir une arme redoutable cette année.
À condition d'être à moins d'une seconde de son adversaire, le pilote pourra modifier l'angle du volet supérieur de l'aileron arrière et gagner entre 10 et 15 km/h en ligne droite. Cela devrait aider les compétiteurs dans leurs tentatives de dépassement.
Suite aux essais pré-saison de Valence, la FIA a proposé d'utiliser l'appareil sur une distance de 600 mètres dans un premier temps. La longueur de cette zone sera réévaluée après quelques courses.
"Je ne crois pas que ce sera très efficace", opine Michael au sujet de cette zone de 600m. "Il faudrait que ce soit beaucoup plus long."
"Pour être efficace, il faudrait que la zone s'étende sur toute la longueur de la ligne droite", explique-t-il à Autosport. "Mais tout dépend de ce que voulez faire. Si vous voulez qu'une manœuvre de dépassement, actuellement impossible, devienne tout juste possible, alors c'est parfait."
L'Australien ne s'inquiète pas de voir l'aileron arrière rendre les attaques trop faciles : "Je ne crois pas que les pilotes atteindront un point où ils pourront tout simplement doubler sans problème. Ce n'est tout simplement pas assez fort pour cela."
À condition d'être à moins d'une seconde de son adversaire, le pilote pourra modifier l'angle du volet supérieur de l'aileron arrière et gagner entre 10 et 15 km/h en ligne droite. Cela devrait aider les compétiteurs dans leurs tentatives de dépassement.
Suite aux essais pré-saison de Valence, la FIA a proposé d'utiliser l'appareil sur une distance de 600 mètres dans un premier temps. La longueur de cette zone sera réévaluée après quelques courses.
"Je ne crois pas que ce sera très efficace", opine Michael au sujet de cette zone de 600m. "Il faudrait que ce soit beaucoup plus long."
"Pour être efficace, il faudrait que la zone s'étende sur toute la longueur de la ligne droite", explique-t-il à Autosport. "Mais tout dépend de ce que voulez faire. Si vous voulez qu'une manœuvre de dépassement, actuellement impossible, devienne tout juste possible, alors c'est parfait."
L'Australien ne s'inquiète pas de voir l'aileron arrière rendre les attaques trop faciles : "Je ne crois pas que les pilotes atteindront un point où ils pourront tout simplement doubler sans problème. Ce n'est tout simplement pas assez fort pour cela."