D'après Sebastian Vettel, les pilotes devront s'attendre à effectuer au moins trois arrêts lors des Grands Prix, conséquence de la courte durée de vie des gommes Pirelli.
"Les pneus sont très différents (…) Je crois que les courses vont changer", opine le champion du monde en titre. "Je crois qu'un arrêt est actuellement impossible, deux aussi. Je m'attends à des courses de trois ou quatre arrêts."
"Cela rendra les choses très intéressantes", continue le pilote Red Bull. "La question, c'est de savoir s'il s'agit d'une bonne ou d'une mauvaise chose pour nous. C'est difficile à dire pour le moment car évidemment, il faudra voir comment se dérouleront les courses."
Pirelli, autre avis
Les gens de Pirelli, qui ont de nouveau défendu leur approche mercredi, ne sont pas du même avis. Ils ont toujours privilégié des gommes moins durables, question de rendre les courses imprévisibles. Mais l'objectif demeure des Grands Prix à deux arrêts.
"D'après les données que j'ai vu, je me demande pourquoi quelqu'un pense faire quatre arrêts", a récemment dit Paul Hembery, le patron de Pirelli Motorsport. "J'en prévois toujours deux. Dans le pire des cas, peut-être trois."
"Mais quatre, ça ne correspond pas aux données. Ce serait très étrange."
"Les pneus sont très différents (…) Je crois que les courses vont changer", opine le champion du monde en titre. "Je crois qu'un arrêt est actuellement impossible, deux aussi. Je m'attends à des courses de trois ou quatre arrêts."
"Cela rendra les choses très intéressantes", continue le pilote Red Bull. "La question, c'est de savoir s'il s'agit d'une bonne ou d'une mauvaise chose pour nous. C'est difficile à dire pour le moment car évidemment, il faudra voir comment se dérouleront les courses."
Pirelli, autre avis
Les gens de Pirelli, qui ont de nouveau défendu leur approche mercredi, ne sont pas du même avis. Ils ont toujours privilégié des gommes moins durables, question de rendre les courses imprévisibles. Mais l'objectif demeure des Grands Prix à deux arrêts.
"D'après les données que j'ai vu, je me demande pourquoi quelqu'un pense faire quatre arrêts", a récemment dit Paul Hembery, le patron de Pirelli Motorsport. "J'en prévois toujours deux. Dans le pire des cas, peut-être trois."
"Mais quatre, ça ne correspond pas aux données. Ce serait très étrange."