Alors qu’une stratégie à quatre arrêts a été nécessaire pour les leaders lors du Grand Prix d’Espagne, Pirelli pense qu’un retour à une norme raisonnable pour Monaco.
Malgré le choix du manufacturier italien de proposer notamment des gommes tendres et extra-tendres en principauté, une stratégie à deux arrêts pourrait être envisageable pour certaines équipes.
"Monaco est l’un de ces circuits où, si vous glissez ou si vous patinez, vous êtes en difficulté. C’est souvent ce qui se passe dans les virages lents et, quand on accélère on glisse, c’est pourquoi nous sommes venues avec des pneus tendres et extra-tendres," a expliqué Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport.
"Nous aimerions vois une stratégie à deux arrêts et basée sur Melbourne, ce qui devrait certainement être possible sur un circuit à basse vitesse, même si Melbourne n’a vraiment de virages serrés comme il y en a à Monaco".
Un autre point crucial concernera les qualifications et le moment où les pneus seront au maximum de leur efficacité. Alors que les pilotes sont habitués à enchaîner les tours dans les rues monégasques avant de signer un tour très rapide, il leur faudra composer avec les particularités des gommes Pirelli.
"Le pic de performance est certainement sur un tour. Il y aura cette caractéristique d’un pneu de qualifications donc on voudra faire le meilleur tour tout de suite car il y aura une usure rapide des pneus," a confirmé Hembery.
Malgré le choix du manufacturier italien de proposer notamment des gommes tendres et extra-tendres en principauté, une stratégie à deux arrêts pourrait être envisageable pour certaines équipes.
"Monaco est l’un de ces circuits où, si vous glissez ou si vous patinez, vous êtes en difficulté. C’est souvent ce qui se passe dans les virages lents et, quand on accélère on glisse, c’est pourquoi nous sommes venues avec des pneus tendres et extra-tendres," a expliqué Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport.
"Nous aimerions vois une stratégie à deux arrêts et basée sur Melbourne, ce qui devrait certainement être possible sur un circuit à basse vitesse, même si Melbourne n’a vraiment de virages serrés comme il y en a à Monaco".
Un autre point crucial concernera les qualifications et le moment où les pneus seront au maximum de leur efficacité. Alors que les pilotes sont habitués à enchaîner les tours dans les rues monégasques avant de signer un tour très rapide, il leur faudra composer avec les particularités des gommes Pirelli.
"Le pic de performance est certainement sur un tour. Il y aura cette caractéristique d’un pneu de qualifications donc on voudra faire le meilleur tour tout de suite car il y aura une usure rapide des pneus," a confirmé Hembery.