Un certain nombre de pilotes ont dû accueillir avec joie la nouvelle de l'arrivée de Pirelli. Depuis le début de la saison, les pneus leur posent problème.
Tous les pilotes ont été confrontés à un moment ou à un autre de la saison à des difficultés avec les pneus mais, pour certains, la récurrence de ces ennuis a viré au cauchemar. C'est le cas par exemple de Felipe Massa, le pilote Ferrari, qui met sur le compte des Bridgestone une bonne partie de son retard dans le Championnat sur Fernando Alonso.
"On ne peut pas vraiment dire que l'on fait la course quand tout repose à ce point sur les pneus", a déclaré le Brésilien à Auto Motor und Sport. Tandis qu'il met du temps à chercher la bonne carburation, les pilotes McLaren peuvent exploiter leurs pneus dès leur premier tour lancé.
Les deux pilotes Mercedes se plaignent aussi régulièrement de ne pas comprendre le fonctionnement des gommes japonaises. "Ces pneus, c'est une énigme", déclarait Nico Rosberg à Montréal. "Ils changent souvent d'un jour à l'autre, suivant plusieurs facteurs", décrit Michael Schumacher qui a lui aussi souvent regretté de ne pas trouver le mode d'emploi.
Bridgestone protège ses secrets de fabrication mais la carcasse du pneu serait en cause. Elle est différente des autres années. Elle est plus robuste pour éviter tout éclatement. Mais elle pose des problèmes à certains pilotes pour monter faire monter les gommes en température.
"On peut clairement voir que le style agressif de Hamilton lui permet de faire marcher les pneus plus vite que Button", a remarqué le patron de Mercedes, Ross Brawn.
Tous les pilotes ont été confrontés à un moment ou à un autre de la saison à des difficultés avec les pneus mais, pour certains, la récurrence de ces ennuis a viré au cauchemar. C'est le cas par exemple de Felipe Massa, le pilote Ferrari, qui met sur le compte des Bridgestone une bonne partie de son retard dans le Championnat sur Fernando Alonso.
"On ne peut pas vraiment dire que l'on fait la course quand tout repose à ce point sur les pneus", a déclaré le Brésilien à Auto Motor und Sport. Tandis qu'il met du temps à chercher la bonne carburation, les pilotes McLaren peuvent exploiter leurs pneus dès leur premier tour lancé.
Les deux pilotes Mercedes se plaignent aussi régulièrement de ne pas comprendre le fonctionnement des gommes japonaises. "Ces pneus, c'est une énigme", déclarait Nico Rosberg à Montréal. "Ils changent souvent d'un jour à l'autre, suivant plusieurs facteurs", décrit Michael Schumacher qui a lui aussi souvent regretté de ne pas trouver le mode d'emploi.
Bridgestone protège ses secrets de fabrication mais la carcasse du pneu serait en cause. Elle est différente des autres années. Elle est plus robuste pour éviter tout éclatement. Mais elle pose des problèmes à certains pilotes pour monter faire monter les gommes en température.
"On peut clairement voir que le style agressif de Hamilton lui permet de faire marcher les pneus plus vite que Button", a remarqué le patron de Mercedes, Ross Brawn.