Ferrari-Whiting, ça continue
Ferrari contredit Charlie Whiting quand il affirme que le directeur de course de la FIA a "immediatement" demandé à Fernando Alonso de rendre la place qu'il avait prise de manière illicite à Robert Kubica, au Grand Prix de Grande-Bretagne.
L'incident a fait couler beaucoup d'encre et fait fuser les commentaires sur notre page Facebook. Il n'est peut-être pas clos. À l'origine, il y a les critiques de la Scuderia envers la commission de course qui lui a infligé un passage par les stands. Ferrari, qui avait déjà eu maille à partir avec l'arbitrage de la F1 deux semaines plus tôt, a fustigé "des décision prises trop lentement" par les commissaires de course, Whiting en tête.
Mais Whiting a répondu en révélant que, avant que la pénalité tombe, il avait averti "trois fois" Ferrari que Kubica devrait reprendre sa place, dont "immédiatement après" le dépassement.
Le team manager de Ferrari Massimo Rivola n'est pas tout à fait d'accord. "Nous voulons juste expliquer les chose pour que l'on comprenne que nous ne sommes pas fous", déclare le dirigeant dans La Stampa.
Rivola affirme que son équipe s'est adressée à Whiting, demandant : "Que doit-on faire ?". La réponse serait venue une minute et cinquante-cinq secondes plus tard. "Ce n'est pas ce que l'on appelle immédiatement", constate Rivola.
Entre-temps, Alonso et Kubica s'étaient engagés dans d'autres luttes, puis Kubica a perdu la puissance de sa Renault et a abandonné sur un problème de transmission.
Ferrari contredit Charlie Whiting quand il affirme que le directeur de course de la FIA a "immediatement" demandé à Fernando Alonso de rendre la place qu'il avait prise de manière illicite à Robert Kubica, au Grand Prix de Grande-Bretagne.
L'incident a fait couler beaucoup d'encre et fait fuser les commentaires sur notre page Facebook. Il n'est peut-être pas clos. À l'origine, il y a les critiques de la Scuderia envers la commission de course qui lui a infligé un passage par les stands. Ferrari, qui avait déjà eu maille à partir avec l'arbitrage de la F1 deux semaines plus tôt, a fustigé "des décision prises trop lentement" par les commissaires de course, Whiting en tête.
Mais Whiting a répondu en révélant que, avant que la pénalité tombe, il avait averti "trois fois" Ferrari que Kubica devrait reprendre sa place, dont "immédiatement après" le dépassement.
Le team manager de Ferrari Massimo Rivola n'est pas tout à fait d'accord. "Nous voulons juste expliquer les chose pour que l'on comprenne que nous ne sommes pas fous", déclare le dirigeant dans La Stampa.
Rivola affirme que son équipe s'est adressée à Whiting, demandant : "Que doit-on faire ?". La réponse serait venue une minute et cinquante-cinq secondes plus tard. "Ce n'est pas ce que l'on appelle immédiatement", constate Rivola.
Entre-temps, Alonso et Kubica s'étaient engagés dans d'autres luttes, puis Kubica a perdu la puissance de sa Renault et a abandonné sur un problème de transmission.